Selon un communiqué de presse rendu public, samedi soir par le ministère de la Défense, « l’action vigoureuse de ces éléments des forces armées a mis en déroute les forces ennemies ».
« Plusieurs bandits ont été faits prisonniers par les forces régulières et les combats ont fait également dans leurs rangs plusieurs hommes blessés », ajoute le communiqué, précisant qu’il est « désormais établi qu’ils comptent parmi eux des enfants soldats enrôlés de force, préalablement enlevés à leurs familles pour servir en qualité de combattants, de porteurs, d’agents de renseignement et d’esclaves sexuels ».
Le Ministère de la Défense nationale a appelé l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que « plusieurs documents trouvés en possession des prisonniers (photos, numéros de téléphones et papiers administratifs notamment) seront mis à la disposition des services compétents d’investigation de l’armée nationale et pourraient permettre d’établir des complicités internes dont bénéficient les malfrats dans leurs actions contre les forces armées ».
C’est le deuxième accrochage en une semaine qui oppose l’armée centrafricaine à des hommes armés dans la région de Kabo, frontalière avec le sud du Tchad.
Un communiqué du ministère de la Défense nationale avait annoncé une attaque des Forces armées centrafricaines (FACA), le 13 avril dernier à Bokayanga (16 km au nord de Kabo), qui « ont mis en déroute des bandits armés non identifiés ».
Selon le communiqué, cette attaque a « permis non seulement d’anéantir une dizaine de ces bandits et fait plusieurs blessés parmi eux, mais également de récupérer d’importantes quantités d’armes de guerre, des matériels dont des tenues militaires neuves ainsi que le groupe électrogène de la sous préfecture de Batangafo et le panneau solaire de l’hôpital de cette même ville ».
Il convient de rappeler que, le 20 février dernier, la localité de Batangafo (386 km au nord de Bangui) a fait l'objet d'une attaque attribuée à des éléments du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) d'Abdoulaye Miskine, qui avaient, selon un communiqué du ministère de la Défense, semé la panique au sein de la population, pillé et saccagé "non seulement les bâtiments administratifs, mais aussi les installation des ONG de bienfaisance opérant dans la région".
« Plusieurs bandits ont été faits prisonniers par les forces régulières et les combats ont fait également dans leurs rangs plusieurs hommes blessés », ajoute le communiqué, précisant qu’il est « désormais établi qu’ils comptent parmi eux des enfants soldats enrôlés de force, préalablement enlevés à leurs familles pour servir en qualité de combattants, de porteurs, d’agents de renseignement et d’esclaves sexuels ».
Le Ministère de la Défense nationale a appelé l’attention de l’opinion nationale et internationale sur le fait que « plusieurs documents trouvés en possession des prisonniers (photos, numéros de téléphones et papiers administratifs notamment) seront mis à la disposition des services compétents d’investigation de l’armée nationale et pourraient permettre d’établir des complicités internes dont bénéficient les malfrats dans leurs actions contre les forces armées ».
C’est le deuxième accrochage en une semaine qui oppose l’armée centrafricaine à des hommes armés dans la région de Kabo, frontalière avec le sud du Tchad.
Un communiqué du ministère de la Défense nationale avait annoncé une attaque des Forces armées centrafricaines (FACA), le 13 avril dernier à Bokayanga (16 km au nord de Kabo), qui « ont mis en déroute des bandits armés non identifiés ».
Selon le communiqué, cette attaque a « permis non seulement d’anéantir une dizaine de ces bandits et fait plusieurs blessés parmi eux, mais également de récupérer d’importantes quantités d’armes de guerre, des matériels dont des tenues militaires neuves ainsi que le groupe électrogène de la sous préfecture de Batangafo et le panneau solaire de l’hôpital de cette même ville ».
Il convient de rappeler que, le 20 février dernier, la localité de Batangafo (386 km au nord de Bangui) a fait l'objet d'une attaque attribuée à des éléments du Front démocratique du peuple centrafricain (FDPC) d'Abdoulaye Miskine, qui avaient, selon un communiqué du ministère de la Défense, semé la panique au sein de la population, pillé et saccagé "non seulement les bâtiments administratifs, mais aussi les installation des ONG de bienfaisance opérant dans la région".