POLITIQUE
Le lot de matériels est constitué d’un équipement pour une salle de conférence, d’armoires de rangement, d’étagères, de fauteuils et des chaises.
Le ministre Zingas, a dit toute sa satisfaction pour les actions multiformes que le Bonuca n’a cessées de déployer en faveur des médias centrafricains au profit de la réconciliation nationale, de la paix, de la promotion et de la protection des droits de l’homme en République Centrafricaine.
Il a rappelé le rôle que les journalistes doivent jouer dans un pays post-conflit comme la République Centrafricaine, précisant que « la presse dans son ensemble doit valoriser l’image que projette notre pays auprès des organisations internationales ».
« Il est cependant anachronique de rappeler que le gouvernement et la population attendent de notre presse, dans cette phase cruciale de l’histoire de notre pays qu’elle rende visibles toutes les actions du chef de l’Etat et du gouvernement en faveur de l’amélioration du cadre de vie social, économique et politique en Centrafrique », a déclaré M. Zingas, exhortant le Haut conseil de la communication et l’Observatoire des médias centrafricains à une « collaboration franche et dynamique, dénouée de toutes les scories, pour une co-régulation mutuellement bénéfique, dans l’intérêt de la liberté de la presse basée sur le respect de la déontologie et d’un professionnalisme caractérisant une bonne pratique du journalisme en République Centrafricaine ».
Le Général Lamine Cissé a déclaré que « l’autorégulation que prône l’Omca, permet de soutenir la liberté d’expression et le pluralisme des médias, de contribuer au développement d’une culture démocratique mais surtout d’élever la qualité de la production ».
Il a rappelé les idées fortes du texte statutaire de l’Omca qui met en bonne place la question de « veiller au respect des règles de la déontologie afin d’éviter les manquements de toute sorte, d’interpeller et de sanctionner tout journaliste pour faute professionnelle avérée ».
« Lorsque la déontologie du journaliste est bafouée, et que, faute de faire la part des choses, les hommes des médias se prêtent ainsi à des diffamations sans parfois, sans rendre compte à priori, la presse, alors n’aide guère la démocratie, au contraire, elle donne des armes à ceux qui veulent la remettre en question », a réitéré M. Cissé, demandant aux journalistes de se dévêtir du manteau de « fonctionnaire de la propagande ».
Il a enfin interpelé tous les acteurs de la communication de veiller scrupuleusement au respect de l’éthique et de la déontologie de leur métier, afin que seuls l’objectivité, le sens de l’équilibre et l’honnêteté soient leur crédo.
Le ministre Zingas, a dit toute sa satisfaction pour les actions multiformes que le Bonuca n’a cessées de déployer en faveur des médias centrafricains au profit de la réconciliation nationale, de la paix, de la promotion et de la protection des droits de l’homme en République Centrafricaine.
Il a rappelé le rôle que les journalistes doivent jouer dans un pays post-conflit comme la République Centrafricaine, précisant que « la presse dans son ensemble doit valoriser l’image que projette notre pays auprès des organisations internationales ».
« Il est cependant anachronique de rappeler que le gouvernement et la population attendent de notre presse, dans cette phase cruciale de l’histoire de notre pays qu’elle rende visibles toutes les actions du chef de l’Etat et du gouvernement en faveur de l’amélioration du cadre de vie social, économique et politique en Centrafrique », a déclaré M. Zingas, exhortant le Haut conseil de la communication et l’Observatoire des médias centrafricains à une « collaboration franche et dynamique, dénouée de toutes les scories, pour une co-régulation mutuellement bénéfique, dans l’intérêt de la liberté de la presse basée sur le respect de la déontologie et d’un professionnalisme caractérisant une bonne pratique du journalisme en République Centrafricaine ».
Le Général Lamine Cissé a déclaré que « l’autorégulation que prône l’Omca, permet de soutenir la liberté d’expression et le pluralisme des médias, de contribuer au développement d’une culture démocratique mais surtout d’élever la qualité de la production ».
Il a rappelé les idées fortes du texte statutaire de l’Omca qui met en bonne place la question de « veiller au respect des règles de la déontologie afin d’éviter les manquements de toute sorte, d’interpeller et de sanctionner tout journaliste pour faute professionnelle avérée ».
« Lorsque la déontologie du journaliste est bafouée, et que, faute de faire la part des choses, les hommes des médias se prêtent ainsi à des diffamations sans parfois, sans rendre compte à priori, la presse, alors n’aide guère la démocratie, au contraire, elle donne des armes à ceux qui veulent la remettre en question », a réitéré M. Cissé, demandant aux journalistes de se dévêtir du manteau de « fonctionnaire de la propagande ».
Il a enfin interpelé tous les acteurs de la communication de veiller scrupuleusement au respect de l’éthique et de la déontologie de leur métier, afin que seuls l’objectivité, le sens de l’équilibre et l’honnêteté soient leur crédo.
