« Nous réitérons ce massage et vous exhortons à ce que ces prochaines échéances électorales soient un véritable chemin de maturité politique et démocratique », affirment les prélats dans un message remis au président de la République François Bozizé, lors d’une rencontre, le 12 janvier dernier avec le chef de l’Etat.
« N’oubliez pas que de mauvais choix entraînent des regrets durables, la frustration, voire des crises. Vous êtes libres et devez voter en hommes libres, sans préjugés, sans peur et sans contraintes », rappellent également les évêques à l’intention des électeurs centrafricains.
« L’impunité et la corruption sont à combattre dans toutes les institutions ecclésiastiques et étatiques pour une vraie justice sociale. C’est de cette manière que nous avancerons ensemble vers une paix durable qui est un don de Dieu et fruit de nos efforts », ajoutent-ils, avant de citer l’exemple réussi de certains pays africains.
Ces derniers, « qui ont tenté d’organiser et de vivre une élection démocratique authentique, sont sortis de situations de guerre et de conflits armés pour reconstruire leur nation unie, réconciliée et grandie ».
En conséquence, les évêques centrafricains appellent leurs compatriotes à prendre conscience de leurs rôles déterminants dans le changement social, économique et politique du pays.
La déclaration des évêques intervient quelque 4 mois avant les élections légisaltives et présidentielles prévues pour le mois d'avril prochain, les mandats des députés et du président de la République arrivant à terme en juin 2010.
« N’oubliez pas que de mauvais choix entraînent des regrets durables, la frustration, voire des crises. Vous êtes libres et devez voter en hommes libres, sans préjugés, sans peur et sans contraintes », rappellent également les évêques à l’intention des électeurs centrafricains.
« L’impunité et la corruption sont à combattre dans toutes les institutions ecclésiastiques et étatiques pour une vraie justice sociale. C’est de cette manière que nous avancerons ensemble vers une paix durable qui est un don de Dieu et fruit de nos efforts », ajoutent-ils, avant de citer l’exemple réussi de certains pays africains.
Ces derniers, « qui ont tenté d’organiser et de vivre une élection démocratique authentique, sont sortis de situations de guerre et de conflits armés pour reconstruire leur nation unie, réconciliée et grandie ».
En conséquence, les évêques centrafricains appellent leurs compatriotes à prendre conscience de leurs rôles déterminants dans le changement social, économique et politique du pays.
La déclaration des évêques intervient quelque 4 mois avant les élections légisaltives et présidentielles prévues pour le mois d'avril prochain, les mandats des députés et du président de la République arrivant à terme en juin 2010.