Lors du débat général qui a précédé ce vote, les députés ont axé leurs interventions sur l’exploitation prochaine de l’uranium de Bakouma et ses conséquences sur les êtres humains, l’environnement, la course à l’armement nucléaire et les compétences nécessaires à la mise en œuvre du traité.
Le Ministre Ndoutingaï a expliqué aux élus qu’après la ratification de ce traité, le gouvernement de la République Centrafricaine va signer un protocole d’accord avec le département américain de la défense pour une assistance logistique. Il a mis l'accent sur les retombées de la ratification du traité d’interdiction complète des essais nucléaires et la transformation de l’uranium en source d’énergie.
Il a enfin rassuré les députés que tout sera fait pour que le pays dispose des compétences chargées de l’interprétation des textes, l’utilisation des stations, de même que leur maintenance.
Il a indiqué à cet effet que le site de l’ex-OROSTOM et celui de l’observatoire géophysique de Bogoin, près de Damara, pourront servir à cette fin. L’Agence Nationale de Radioprotection (ANR) est indiquée pour conduire tous les programmes nucléaires en République Centrafricaine.
Le vote positif du projet de loi portant ratification du traité d’interdiction complète des essais nucléaires par les députés centrafricain intervient à un moment où 46 pays dans le monde apporte leur soutien au président américain sur la sécurité nucléaire suite au sommet de Washington sur la prévention du terrorisme nucléaire et la sécurisation des matières sensibles.
Le traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBT) a été initié par l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO) et a été adopté par l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies le 10 septembre 1996.
La République Centrafricaine a signé, le 19 décembre 1996, ce traité que 151 Etats sur 182 ont ratifié à ce jour.
L’objet de ce traité est d’interdire toutes les explosions nucléaires expérimentales, militaires et même les explosions nucléaires à des fins pacifiques. Cette interdiction permet de prévenir de manière efficace la prolifération des armes nucléaires ainsi que le désarmement nucléaire.
La République Centrafricaine fait partie des 337 pays identifiés pour abriter les stations de surveillance. Des 337 stations, 16 sont consacrées aux laboratoires, aptes à la collecte des données. Ces données concernent les séismes, les catastrophes naturelles, les accidents d’avion, le réchauffement planétaire et même les tremblements de terre.
La ratification de ce traité par la République Centrafricaine lui permettra de bénéficier de nombreux avantages, a soutenu le Ministre Sylvain Ndoutingaï. De part sa position géographique car située au centre de l’Afrique, la République Centrafricaine abritera deux stations de surveillance internationale, à savoir : la station primaire sismologique n°11 et la station d’infrason n°12. Avec ces installations, la République Centrafricaine pourra participer au renforcement de la paix et de la sécurité internationale.
Le Ministre Ndoutingaï a expliqué aux élus qu’après la ratification de ce traité, le gouvernement de la République Centrafricaine va signer un protocole d’accord avec le département américain de la défense pour une assistance logistique. Il a mis l'accent sur les retombées de la ratification du traité d’interdiction complète des essais nucléaires et la transformation de l’uranium en source d’énergie.
Il a enfin rassuré les députés que tout sera fait pour que le pays dispose des compétences chargées de l’interprétation des textes, l’utilisation des stations, de même que leur maintenance.
Il a indiqué à cet effet que le site de l’ex-OROSTOM et celui de l’observatoire géophysique de Bogoin, près de Damara, pourront servir à cette fin. L’Agence Nationale de Radioprotection (ANR) est indiquée pour conduire tous les programmes nucléaires en République Centrafricaine.
Le vote positif du projet de loi portant ratification du traité d’interdiction complète des essais nucléaires par les députés centrafricain intervient à un moment où 46 pays dans le monde apporte leur soutien au président américain sur la sécurité nucléaire suite au sommet de Washington sur la prévention du terrorisme nucléaire et la sécurisation des matières sensibles.
Le traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBT) a été initié par l’Organisation du traité d’interdiction complète des essais nucléaires (CTBTO) et a été adopté par l’assemblée générale de l’Organisation des Nations Unies le 10 septembre 1996.
La République Centrafricaine a signé, le 19 décembre 1996, ce traité que 151 Etats sur 182 ont ratifié à ce jour.
L’objet de ce traité est d’interdire toutes les explosions nucléaires expérimentales, militaires et même les explosions nucléaires à des fins pacifiques. Cette interdiction permet de prévenir de manière efficace la prolifération des armes nucléaires ainsi que le désarmement nucléaire.
La République Centrafricaine fait partie des 337 pays identifiés pour abriter les stations de surveillance. Des 337 stations, 16 sont consacrées aux laboratoires, aptes à la collecte des données. Ces données concernent les séismes, les catastrophes naturelles, les accidents d’avion, le réchauffement planétaire et même les tremblements de terre.
La ratification de ce traité par la République Centrafricaine lui permettra de bénéficier de nombreux avantages, a soutenu le Ministre Sylvain Ndoutingaï. De part sa position géographique car située au centre de l’Afrique, la République Centrafricaine abritera deux stations de surveillance internationale, à savoir : la station primaire sismologique n°11 et la station d’infrason n°12. Avec ces installations, la République Centrafricaine pourra participer au renforcement de la paix et de la sécurité internationale.