Le président du comité d'organisation des Trophées de la Rénaissance, Henri Pascal Bolanga (photo D. Koutou/Acap)
« Nous sommes en train, déjà, de nous préparer sur la prochaine édition en nous disant qu’il faudra absolument combler tous les manquements qu’il y a eu à la première édition », a indiqué M. Bolanga, ajoutant pouvoir estimer que l’élan ayant abouti à la construction du monument de la Renaissance Africaine du président sénégalais Abdoulaye Wade serait parti de Bangui.
« Ne soyez pas surpris que demain il y ait les Trophées de la Renaissance Africaine », a-t-il encore affirmé, avant de relever que « Ce monument porte le beau nom de « Renaissance », donc la thématique que nous avons déclinée est une thématique qui est internationale, qui est panafricaine ».
Selon lui, la première édition des Trophées de la Renaissance, organisée à Bangui le 13 mars dernier, a tenu toutes ses promesses, « dans la mesure où nous avons pu le hisser au niveau des évènements internationaux qui sont organisés dans toute l’Afrique » grâce au patronage du président François Bozizé qui a honoré de sa présence la cérémonie et à la participation d’artistes de renommée internationale, à savoir Dorcas Kaja, Monique Séka et de la cantatrice d’origine centrafricaine, Lydie Pacé.
Il a mis un accent particulier sur le travail réalisé en amont par le comité d’organisation, précisant qu’ « Il a bien fallu en un laps de temps très court arriver à rationaliser cet évènement », c’est-à-dire recueillir des informations sur les 125 entités centrafricaines et régionales qui étaient nominées et dont 25 ont été primées.
Il faut signaler que M. Bolanga a fait ces déclarations en marge d’une réception donnée au restaurant « le Carré Gourmand » à Bangui en l’honneur des partenaires du comité d’organisation et qui a été animée par l’orchestre Yoka Suka et 3 lauréats du concours de la chanson francophone
« Ne soyez pas surpris que demain il y ait les Trophées de la Renaissance Africaine », a-t-il encore affirmé, avant de relever que « Ce monument porte le beau nom de « Renaissance », donc la thématique que nous avons déclinée est une thématique qui est internationale, qui est panafricaine ».
Selon lui, la première édition des Trophées de la Renaissance, organisée à Bangui le 13 mars dernier, a tenu toutes ses promesses, « dans la mesure où nous avons pu le hisser au niveau des évènements internationaux qui sont organisés dans toute l’Afrique » grâce au patronage du président François Bozizé qui a honoré de sa présence la cérémonie et à la participation d’artistes de renommée internationale, à savoir Dorcas Kaja, Monique Séka et de la cantatrice d’origine centrafricaine, Lydie Pacé.
Il a mis un accent particulier sur le travail réalisé en amont par le comité d’organisation, précisant qu’ « Il a bien fallu en un laps de temps très court arriver à rationaliser cet évènement », c’est-à-dire recueillir des informations sur les 125 entités centrafricaines et régionales qui étaient nominées et dont 25 ont été primées.
Il faut signaler que M. Bolanga a fait ces déclarations en marge d’une réception donnée au restaurant « le Carré Gourmand » à Bangui en l’honneur des partenaires du comité d’organisation et qui a été animée par l’orchestre Yoka Suka et 3 lauréats du concours de la chanson francophone