Les membres de la mission de rencontre avec les déplacés internes s’emploieront « à sensibiliser les parties en conflits, à assurer la protection des personnes déplacées internes et surtout à formuler un plaidoyer pour le démantèlement des barrières et tout autre obstacle à la liberté de circulation des personnes déplacées », a indiqué M. Nyakanda.
En plus des réfugiés, la mission prendra des contacts avec les autorités locales, les leaders des formations politico-militaires et les représentants des personnes déplacées. Des débats seront menés autour des violations déjà connues en vue de trouver les solutions qui s’imposent. Ces réponses concernent l’eau potable, l’éducation, la santé.
Il plaide pour « que le Haut Commissariat aux Droits des l’Homme, que le Comité National Permanent de Concertation et de coordination de gestion de la protection des droits des personnes déplacées, que le Haut Commissariat des Nations Unies et les partenaires de bonne volonté s’associent pour aider ces personnes à revenir chez elles, si elles le désirent ».
Interrogé sur le choix de l'Ouham et de la Nana Gribizi, M. Nyakanda a indiqué que « ces deux préfectures sont une première étape » et que d'autres missions suivraient, notamment dans le Haut Mbomou et dans l’Ouham Pendé afin d' "apporter une réponse urgente aux violations dont sont victimes les personnes déplacées".
Suite aux soubresauts politico-militaires qui ont émaillé l’histoire récente de la République Centrafricaine, de nombreuses personnes se sont retrouvées dans des situations difficiles. Il y a d’une part les réfugiés, qui sont en grand nombre au sud du Tchad et à l’est du Cameroun, et également les déplacés internes.
Le Haut commissaire a émis le souhait de voir la paix revenir et que certaines personnes déplacées retrouvent leur terroir, « là où ces personnes sont nées, là où ces personnes ont grandi, là où ces personnes avaient leurs troupeaux, là où ces personnes avaient des champs et des maisons ».
En plus des réfugiés, la mission prendra des contacts avec les autorités locales, les leaders des formations politico-militaires et les représentants des personnes déplacées. Des débats seront menés autour des violations déjà connues en vue de trouver les solutions qui s’imposent. Ces réponses concernent l’eau potable, l’éducation, la santé.
Il plaide pour « que le Haut Commissariat aux Droits des l’Homme, que le Comité National Permanent de Concertation et de coordination de gestion de la protection des droits des personnes déplacées, que le Haut Commissariat des Nations Unies et les partenaires de bonne volonté s’associent pour aider ces personnes à revenir chez elles, si elles le désirent ».
Interrogé sur le choix de l'Ouham et de la Nana Gribizi, M. Nyakanda a indiqué que « ces deux préfectures sont une première étape » et que d'autres missions suivraient, notamment dans le Haut Mbomou et dans l’Ouham Pendé afin d' "apporter une réponse urgente aux violations dont sont victimes les personnes déplacées".
Suite aux soubresauts politico-militaires qui ont émaillé l’histoire récente de la République Centrafricaine, de nombreuses personnes se sont retrouvées dans des situations difficiles. Il y a d’une part les réfugiés, qui sont en grand nombre au sud du Tchad et à l’est du Cameroun, et également les déplacés internes.
Le Haut commissaire a émis le souhait de voir la paix revenir et que certaines personnes déplacées retrouvent leur terroir, « là où ces personnes sont nées, là où ces personnes ont grandi, là où ces personnes avaient leurs troupeaux, là où ces personnes avaient des champs et des maisons ».