« Parfois je pleure pour les parents qui n’ont plus la possibilité d’aller au champ ou d’aller au marché parce qu’on leur demande des rançons », a-t-il déploré, en présence du président de l’Armée populaire pour la restauration de la démocratie, Jean-Jacques Demafouth.
Il a également expliqué qu’à cause de ces multiples exactions, des milliers de déplacés sont assistés par la paroisse de Bocaranga et le Conseil Danois pour les Réfugiés (DRC).
« Demander pardon ne suffit pas, il faut passer à l’acte concret, c’est-à-dire le désarmement et la levée des barrières pour permettre une véritable réconciliation, a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le père Potin a promis d’appuyer le programme DDR par la prière en vue de la réussite du processus de paix en Centrafrique.
Le ministre d’Etat Gonda s’est pour sa part félicité de l’implication de l’Eglise dans le processus de réconciliation, notamment dans la phase de contact qui a abouti à la signature de l’Accord Global de Paix de Libreville et la tenue du Dialogue Politique Inclusif (DPI).
Il convient de rappeler que la sous-préfecture de Bocaranga a connu de violents affrontements entre l’armée et les rebelles de l’APRD, faisant de nombreuses victimes et de nombreux déplacés avant les différents accords de paix.
Il a également expliqué qu’à cause de ces multiples exactions, des milliers de déplacés sont assistés par la paroisse de Bocaranga et le Conseil Danois pour les Réfugiés (DRC).
« Demander pardon ne suffit pas, il faut passer à l’acte concret, c’est-à-dire le désarmement et la levée des barrières pour permettre une véritable réconciliation, a-t-il ajouté.
Par ailleurs, le père Potin a promis d’appuyer le programme DDR par la prière en vue de la réussite du processus de paix en Centrafrique.
Le ministre d’Etat Gonda s’est pour sa part félicité de l’implication de l’Eglise dans le processus de réconciliation, notamment dans la phase de contact qui a abouti à la signature de l’Accord Global de Paix de Libreville et la tenue du Dialogue Politique Inclusif (DPI).
Il convient de rappeler que la sous-préfecture de Bocaranga a connu de violents affrontements entre l’armée et les rebelles de l’APRD, faisant de nombreuses victimes et de nombreux déplacés avant les différents accords de paix.