« La biennale de cette année se propose de développer encore davantage la transversalité des disciplines et des langages et d’ouvrir également l’exposition internationale à différents expressions et supports artistiques intégrant à part entière les démarches vidéos avec l’objectif d’arriver à une large exploration de concept frontières réelles ou métaphoriques », a déclaré M. Vidon dans son discours d’ouverture.
« Perçues comme des territoires de démarcation, des clôtures ou de transit, elles peuvent être un lieu de transformation et d’échange, un territoire réel ou imaginaire d’ouverture » a-t-il souligné.
Selon lui, les barrières naturelles ou lignes artificielles tracées par les hommes, en Afrique plus qu’ailleurs, les frontières et leurs réalités complexes représentent des problématiques actuelles.
« Si les effets de la globalisation et du libéralisme ont permis la porosité de certaines frontières par ailleurs, des urgences économiques et politiques continuent à dessiner des flux migratoires confrontés davantage à l’étanchéité des frontières », a encore souligné M. Vidon, ajoutant que l’humanité demeure sans cesse en quête de refuges, de repères et de valeurs autour des territoires auxquels elle s’identifie et s’enracine.
Il a précisé que, non seulement la frontière marque la limite et définit son espace, mais elle est aussi un lieu de rencontre dans ce entre-deux justement nommé « no man’s land » ainsi qu’un lieu de passage symbolique et représente un espace de transgression et l’ouverture à l’ailleurs et à l’inconnu.
Il a ensuite expliqué que le rapport à l’autre, à l’étranger, corollaire des frontières peut-être vu sous différents aspects de l’intégration, de la ségrégation et de l’échange.
Signalons que cette exposition, prévue pour un mois à l’Alliance Française de Bangui, présente des oeuvres réalisées par trois photographes centrafricains, à savoir Serge Dibert Bekoy, Robert Mafuta et Urbain Rebou-kossi.
Notons que cette exposition était précédée d’un jeu concours de danse hip hop auquel ont pris part des artistes sélectionnés par un jury international comprenant notamment Byela Princia, Wakanzi Ulrich du Congo, Roland Fichier de France.
« Perçues comme des territoires de démarcation, des clôtures ou de transit, elles peuvent être un lieu de transformation et d’échange, un territoire réel ou imaginaire d’ouverture » a-t-il souligné.
Selon lui, les barrières naturelles ou lignes artificielles tracées par les hommes, en Afrique plus qu’ailleurs, les frontières et leurs réalités complexes représentent des problématiques actuelles.
« Si les effets de la globalisation et du libéralisme ont permis la porosité de certaines frontières par ailleurs, des urgences économiques et politiques continuent à dessiner des flux migratoires confrontés davantage à l’étanchéité des frontières », a encore souligné M. Vidon, ajoutant que l’humanité demeure sans cesse en quête de refuges, de repères et de valeurs autour des territoires auxquels elle s’identifie et s’enracine.
Il a précisé que, non seulement la frontière marque la limite et définit son espace, mais elle est aussi un lieu de rencontre dans ce entre-deux justement nommé « no man’s land » ainsi qu’un lieu de passage symbolique et représente un espace de transgression et l’ouverture à l’ailleurs et à l’inconnu.
Il a ensuite expliqué que le rapport à l’autre, à l’étranger, corollaire des frontières peut-être vu sous différents aspects de l’intégration, de la ségrégation et de l’échange.
Signalons que cette exposition, prévue pour un mois à l’Alliance Française de Bangui, présente des oeuvres réalisées par trois photographes centrafricains, à savoir Serge Dibert Bekoy, Robert Mafuta et Urbain Rebou-kossi.
Notons que cette exposition était précédée d’un jeu concours de danse hip hop auquel ont pris part des artistes sélectionnés par un jury international comprenant notamment Byela Princia, Wakanzi Ulrich du Congo, Roland Fichier de France.