Cet atelier qui regroupera des experts du secteur public et des institutions de l’Etat, le secteur privé et la société civile, aura pour objectif de sensibiliser les participants sur les enjeux de l’APE en vue de définir la position de la République Centrafricaine dans le cadre de la poursuite du processus de négociation avec les partenaires européens.
Il convient de signaler que l’accord de partenariat économique vise à approfondir l’intégration régionale, à l’insertion progressive des pays de l’Afrique Centrale dans l’économie mondiale en vue de l’éradication de la pauvreté en cohérence avec les objectifs du développement durable en exerçant la libre circulation des marchandises. Dans ce sens, le champ d’application est l’élimination des droits de douane à l’importation, redevances et autres taxes et la classification des marchandises.
Lancées il y a cinq ans, les négociations sur cet accord entre l’Union Européenne et l’Afrique centrale devaient être conclues en décembre 2007.
Se démarquant des directives consensuelles prises par l’ensemble des Etats de l’Afrique Centrale, le Cameroun a décidé pour des raisons propres, de parapher un accord d’étape le 17 décembre dernier, ce qui met en mal la cohésion régionale. Le Gabon serait dans la même logique.
Rappelons que la configuration négociante Afrique centrale est composée de trois pays à économie intermédiaire, dont le Cameroun, le Gabon et le Congo et cinq pays moins avancés dont la République Centrafricaine, seul pays non producteur de pétrole.
Il convient de signaler que l’accord de partenariat économique vise à approfondir l’intégration régionale, à l’insertion progressive des pays de l’Afrique Centrale dans l’économie mondiale en vue de l’éradication de la pauvreté en cohérence avec les objectifs du développement durable en exerçant la libre circulation des marchandises. Dans ce sens, le champ d’application est l’élimination des droits de douane à l’importation, redevances et autres taxes et la classification des marchandises.
Lancées il y a cinq ans, les négociations sur cet accord entre l’Union Européenne et l’Afrique centrale devaient être conclues en décembre 2007.
Se démarquant des directives consensuelles prises par l’ensemble des Etats de l’Afrique Centrale, le Cameroun a décidé pour des raisons propres, de parapher un accord d’étape le 17 décembre dernier, ce qui met en mal la cohésion régionale. Le Gabon serait dans la même logique.
Rappelons que la configuration négociante Afrique centrale est composée de trois pays à économie intermédiaire, dont le Cameroun, le Gabon et le Congo et cinq pays moins avancés dont la République Centrafricaine, seul pays non producteur de pétrole.