Toby Lanzer a fait cette déclaration au cours d’un point de presse organisé jeudi 12 juillet au siège du Pnud à Bangui en vue de présenter les conclusions de la réunion de concertation des bailleurs de fonds sur la République Centrafricaine.
Il a clairement expliqué que la réunion de Bruxelles avait simplement donné l’occasion au gouvernement centrafricain de présenter aux bailleurs de fonds réunis pour examiner la situation économique et sociale du pays, le bilan des réformes et les efforts entrepris au cours des quatre dernières années en matière économique et de bonne gouvernance ainsi que les perspectives de relance économique et sociale.
Le représentant du PNUD a précisé que la concertation du 26 juin avait regroupé une quarantaine d’organisations internationales et des gouvernements tels que les Etats-Unis, le Japon, la Belgique, le Canada qui ont suivi avec empressement les explications des membres de la délégation centrafricaine sur des sujets très importants concernant la survie du peuple centrafricain.
Pour Toby Lanzer, cette réunion de concertation « constitue une plate forme d’informations pour préparer la prochaine table ronde du 25 octobre 2007, toujours à Bruxelles pendant laquelle le gouvernement aura à présenter le Document de stratégie sur la réduction de la pauvreté en Centrafrique ».
« Cela fait plusieurs mois que le Pnud sensibilise les bailleurs de fonds sur les progrès que le gouvernement centrafricain est entrain de faire depuis les élections de 2005, mais aussi sur les défis dont la RCA est confrontée », a déclaré Toby Lanzer, précisant qu’il a été dans plusieurs capitales d’Europe (Oslo, Stockholm, Londres, Dublin, etc.) avec le ministre centrafricain du Plan et de la coopération internationale pour sensibiliser les bailleurs de fonds sur la situation humanitaire en RCA, car a-t-il dit, « le pays n’est pas bien connu de l’extérieur ».
Notez que dans le communiqué final qui avait sanctionné cette rencontre, les représentants des bailleurs de fonds multilatéraux avaient attiré l’attention des participants sur l’appui financier fourni par la communauté financière internationale, résultant des aides bilatérales, le réengagement effectif de la Banque mondiale et de la BAD, l’obtention d’une FRPC du FMI et d’un accord de rééchelonnement par le Club de Paris.
Ils avaient également souligné que les besoins financiers considérables de la RCA nécessitent une aide bien plus importante ainsi que des contributions de nouveaux parte
Il a clairement expliqué que la réunion de Bruxelles avait simplement donné l’occasion au gouvernement centrafricain de présenter aux bailleurs de fonds réunis pour examiner la situation économique et sociale du pays, le bilan des réformes et les efforts entrepris au cours des quatre dernières années en matière économique et de bonne gouvernance ainsi que les perspectives de relance économique et sociale.
Le représentant du PNUD a précisé que la concertation du 26 juin avait regroupé une quarantaine d’organisations internationales et des gouvernements tels que les Etats-Unis, le Japon, la Belgique, le Canada qui ont suivi avec empressement les explications des membres de la délégation centrafricaine sur des sujets très importants concernant la survie du peuple centrafricain.
Pour Toby Lanzer, cette réunion de concertation « constitue une plate forme d’informations pour préparer la prochaine table ronde du 25 octobre 2007, toujours à Bruxelles pendant laquelle le gouvernement aura à présenter le Document de stratégie sur la réduction de la pauvreté en Centrafrique ».
« Cela fait plusieurs mois que le Pnud sensibilise les bailleurs de fonds sur les progrès que le gouvernement centrafricain est entrain de faire depuis les élections de 2005, mais aussi sur les défis dont la RCA est confrontée », a déclaré Toby Lanzer, précisant qu’il a été dans plusieurs capitales d’Europe (Oslo, Stockholm, Londres, Dublin, etc.) avec le ministre centrafricain du Plan et de la coopération internationale pour sensibiliser les bailleurs de fonds sur la situation humanitaire en RCA, car a-t-il dit, « le pays n’est pas bien connu de l’extérieur ».
Notez que dans le communiqué final qui avait sanctionné cette rencontre, les représentants des bailleurs de fonds multilatéraux avaient attiré l’attention des participants sur l’appui financier fourni par la communauté financière internationale, résultant des aides bilatérales, le réengagement effectif de la Banque mondiale et de la BAD, l’obtention d’une FRPC du FMI et d’un accord de rééchelonnement par le Club de Paris.
Ils avaient également souligné que les besoins financiers considérables de la RCA nécessitent une aide bien plus importante ainsi que des contributions de nouveaux parte