Il a fait cette déclaration pendant la 3ème journée du forum sur la diversification et la promotion de l’investissement non pétrolier en vue d’une croissance forte et durable dans la Cemac qui prend fin ce mercredi à Libreville, au Gabon, en présence du ministre gabonais des Finances, M. Paul Toungui.
M. Dejean a relevé que pour qu’il y ait une grande mobilisation des ressources économiques en Centrafrique, il faut que les multinationales qui exploitent des matières premières, les espaces ou les marchés en Centrafrique puissent faire bénéficier l’Etat et la population toute entière.
« Il faut une attractivité en terme de financement au lieu d’aller se financer à l’extérieur et que les banques puissent faire des offres intéressantes », a indiqué M. Dejean, précisant qu’il faut une égalité de traitement vis-à-vis des clients qu’ils, soient grandes ou petites entreprises.
Il a par ailleurs soulevé la question de l’environnement des affaires qui doit être assaini par une justice équitable et une bonne dose de capacité des entreprises qui ne doivent pas seulement travailler à Bangui et aussi développer les infrastructures.
« je ne trouve pas normale que de Bambari (centre Est de Bangui) pour aller à Berbérati, (Ouest de Bangui), il faut passer obligatoirement par Bangui », s’est indigné M. Dejean, proposant de développer un axe direct entre l’Est et l’ouest, ce qui pourrait faire développer le commerce à l’intérieur de la république Centrafricaine.
M. Dejean a relevé que pour qu’il y ait une grande mobilisation des ressources économiques en Centrafrique, il faut que les multinationales qui exploitent des matières premières, les espaces ou les marchés en Centrafrique puissent faire bénéficier l’Etat et la population toute entière.
« Il faut une attractivité en terme de financement au lieu d’aller se financer à l’extérieur et que les banques puissent faire des offres intéressantes », a indiqué M. Dejean, précisant qu’il faut une égalité de traitement vis-à-vis des clients qu’ils, soient grandes ou petites entreprises.
Il a par ailleurs soulevé la question de l’environnement des affaires qui doit être assaini par une justice équitable et une bonne dose de capacité des entreprises qui ne doivent pas seulement travailler à Bangui et aussi développer les infrastructures.
« je ne trouve pas normale que de Bambari (centre Est de Bangui) pour aller à Berbérati, (Ouest de Bangui), il faut passer obligatoirement par Bangui », s’est indigné M. Dejean, proposant de développer un axe direct entre l’Est et l’ouest, ce qui pourrait faire développer le commerce à l’intérieur de la république Centrafricaine.