« Le gouvernement tiendra compte des résolutions et recommandations issues de cet atelier pour la poursuite des négociations avec les partenaires européens tout en sachant que le Président de la République, chef de l’Etat, assurera la présidence de la CEMAC », a déclaré Mme Koundouguéré, espérant que les leçons apprises durant l’atelier seront restituées aux membres des entités respectives pour que « chacun dans son domaine de compétence contribue au relèvement socio- économique de la République Centrafricaine ».
« La République Centrafricaine parviendra sur la base de vos propositions, à signer avec l’Union européenne un accord de partenariat juste et équilibré en prenant en compte ses spécificités », a conclu, Mme Koudounguéré.
L’atelier a fait des recommandations relatives à l’accès aux marchés des biens, à l’accès aux marchés des services, aux normes, au renforcement des capacités et financement du partenariat ainsi que sur le texte de l’Accord.
L’atelier a également fait une déclaration invitant les hautes autorités du pays, compte tenu des enjeux des négociations, à mettre à la disposition des structures négociantes, notamment le Comité national des Négociations Commerciales et les experts, les moyens financiers et matériels nécessaires et appropriés à l’accomplissement de leurs missions.
A mettre à profit la présidence de la CEMAC par la RCA en 2008, en vue d’accélérer le processus d’intégration régionale, la poursuite et la finalisation des négociations de l’APE et également à mettre à profit la période de grâce, pour prévoir des reformes fiscalo-douanières nécessaires devant permettre de faire face aux effets de l’APE.
L’atelier invite par la même occasion l’Union Européenne, partenaire majeur de la République Centrafricaine, à une plus grande implication dans la mise en œuvre de la politique d’aide au commerce, afin que le pays tire effectivement profit de la libéralisation des échanges et aussi à une plus grande mobilisation des ressources pour les réformes nécessaires à la mise en œuvre de l’APE et la mise à disposition dans un bref délai des ressources du 10ème Fonds Européen de Développement (FED).
Dagoulou/ACAP
« La République Centrafricaine parviendra sur la base de vos propositions, à signer avec l’Union européenne un accord de partenariat juste et équilibré en prenant en compte ses spécificités », a conclu, Mme Koudounguéré.
L’atelier a fait des recommandations relatives à l’accès aux marchés des biens, à l’accès aux marchés des services, aux normes, au renforcement des capacités et financement du partenariat ainsi que sur le texte de l’Accord.
L’atelier a également fait une déclaration invitant les hautes autorités du pays, compte tenu des enjeux des négociations, à mettre à la disposition des structures négociantes, notamment le Comité national des Négociations Commerciales et les experts, les moyens financiers et matériels nécessaires et appropriés à l’accomplissement de leurs missions.
A mettre à profit la présidence de la CEMAC par la RCA en 2008, en vue d’accélérer le processus d’intégration régionale, la poursuite et la finalisation des négociations de l’APE et également à mettre à profit la période de grâce, pour prévoir des reformes fiscalo-douanières nécessaires devant permettre de faire face aux effets de l’APE.
L’atelier invite par la même occasion l’Union Européenne, partenaire majeur de la République Centrafricaine, à une plus grande implication dans la mise en œuvre de la politique d’aide au commerce, afin que le pays tire effectivement profit de la libéralisation des échanges et aussi à une plus grande mobilisation des ressources pour les réformes nécessaires à la mise en œuvre de l’APE et la mise à disposition dans un bref délai des ressources du 10ème Fonds Européen de Développement (FED).
Dagoulou/ACAP