vue générale des participants à la journée de réflexion (photo R. Molenguela/Acap)
Des représentants de la société civile, des confessions religieuses, des avocats et des médias prennent part à cette rencontre qui aborde plusieurs sujets d’intérêt majeur pour le processus électoral en Centrafrique et qui feront l’objet de communications et d’échanges.
Il s’agit notamment du cadre légal et institutionnel des élections de 2010, de la sécurisation des élections, de la révision du fichier électoral, du rôle de la société civile et des médias et enfin de la contribution des partis politiques afin de crédibiliser les élections de 2010 qui devront être régulières, équitables et apaisées.
Organisé par l’ONG National Democratic Institute en Centrafrique (NDI/RCA), avec l’appui financier de l’Agence des Etats-Unis d’Amérique pour le Développement International (USAID), cet atelier s’est fixé trois objectifs essentiels qui sont : la participation des citoyens aux élections, la performance du processus électoral de 2010 et la réduction des risques de violence à toutes les étapes du processus électoral.
La sous-directrice pour l’Afrique de l’ouest et centrale, Mme Barrie Hofmann, a souligné que l’accompagnement technique du NDI au processus électoral centrafricain de 2010 est un soutien du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique à travers un financement de l’USAID.
Dans le cadre de ce soutien technique, a indiqué Mme Ofmann, le NDI accompagnera les structures nationales à travers trois composantes, à savoir la sensibilisation, l’observation nationale et l’observation régionale.
L’Ambassadeur des Etats-Unis en Centrafrique, M. Frederick Cook, a soutenu que les élections ne sont pas limitées aux politiciens et aux politico-militaires puisque cela débouchera sur un processus politique de paix et de réconciliation. Partant, tout leader politico-militaire qui n’est pas prêt pour discuter avec ses frères et sœurs centrafricains ne sera jamais considéré par la communauté internationale, y compris les Etats-Unis.
« Il y avait des accords signés en 2008 et qui ont ouvert le processus du dialogue inclusif et, pour le moment, le processus des élections. Autrement dit, chaque Centrafricain doit apporter sa pierre à la construction du pays. Par contre, il n’y a pas de place pour les gens qui cherchent uniquement des intérêts égoïstes et participent à la destruction de leur pays », a-t-il ajouté.
Pour le ministre de l’Ordre public, le Général Jules Bernard Ouandé, les enseignements attendus de cette rencontre permettront d’apprécier à sa juste valeur le travail déjà abattu par la Commission Electorale Indépendante (CEI) et le gouvernement.
« Enfin, les résolutions qui sortiront des travaux de cet atelier devront permettre de fiabiliser les échéances électorales dans notre pays », a ajouté le ministre, estimant que ceux qui ont abattu ce travail devront se sentir fiers quant à l’aboutissement des élections ».
Il s’agit notamment du cadre légal et institutionnel des élections de 2010, de la sécurisation des élections, de la révision du fichier électoral, du rôle de la société civile et des médias et enfin de la contribution des partis politiques afin de crédibiliser les élections de 2010 qui devront être régulières, équitables et apaisées.
Organisé par l’ONG National Democratic Institute en Centrafrique (NDI/RCA), avec l’appui financier de l’Agence des Etats-Unis d’Amérique pour le Développement International (USAID), cet atelier s’est fixé trois objectifs essentiels qui sont : la participation des citoyens aux élections, la performance du processus électoral de 2010 et la réduction des risques de violence à toutes les étapes du processus électoral.
La sous-directrice pour l’Afrique de l’ouest et centrale, Mme Barrie Hofmann, a souligné que l’accompagnement technique du NDI au processus électoral centrafricain de 2010 est un soutien du gouvernement des Etats-Unis d’Amérique à travers un financement de l’USAID.
Dans le cadre de ce soutien technique, a indiqué Mme Ofmann, le NDI accompagnera les structures nationales à travers trois composantes, à savoir la sensibilisation, l’observation nationale et l’observation régionale.
L’Ambassadeur des Etats-Unis en Centrafrique, M. Frederick Cook, a soutenu que les élections ne sont pas limitées aux politiciens et aux politico-militaires puisque cela débouchera sur un processus politique de paix et de réconciliation. Partant, tout leader politico-militaire qui n’est pas prêt pour discuter avec ses frères et sœurs centrafricains ne sera jamais considéré par la communauté internationale, y compris les Etats-Unis.
« Il y avait des accords signés en 2008 et qui ont ouvert le processus du dialogue inclusif et, pour le moment, le processus des élections. Autrement dit, chaque Centrafricain doit apporter sa pierre à la construction du pays. Par contre, il n’y a pas de place pour les gens qui cherchent uniquement des intérêts égoïstes et participent à la destruction de leur pays », a-t-il ajouté.
Pour le ministre de l’Ordre public, le Général Jules Bernard Ouandé, les enseignements attendus de cette rencontre permettront d’apprécier à sa juste valeur le travail déjà abattu par la Commission Electorale Indépendante (CEI) et le gouvernement.
« Enfin, les résolutions qui sortiront des travaux de cet atelier devront permettre de fiabiliser les échéances électorales dans notre pays », a ajouté le ministre, estimant que ceux qui ont abattu ce travail devront se sentir fiers quant à l’aboutissement des élections ».