Accusé d’absence répétée, de travail en dehors des textes de base, d’ambition politique et de mauvaise gestion des fonds de l’institution, Martin Baba a contrattaqué en affirmant que « Les journalistes doivent aller à la source des informations. Les choses dites doivent être des choses vérifiables ».
« Sur 800 millions inscrits comme budget du Conseil, nous n'avons reçu que 252 millions sur une période de deux ans et demi .Cela ne suffit même pas pour organiser les sessions annuelles qui couvrent 380 millions », a-t-il expliqué.
« Le Conseil Economique et Social tient sa session deux fois par an ; du premier au 15 mars et du premier aout au 15 septembre. Les personnels sont rémunérés à chaque session selon le nombre des jours passés pendant la session », a-t-il également.
« Nous sommes à l’ère des nouvelles technologies de l’information. Il n’est pas nécessaire que je sois dans mon bureau chaque jour pour démontrer que je travaille. Je dois représenter le Conseil Economique et Social sur le plan national et international. Nous travaillons dans une administration qui fonctionne normalement », a répliqué M. Baba à ceux qui lui reprochent d'être souvent absent du bureau.
Quant à ceux qui voyaient en lui un candidat virtuel aux prochaines élections législatives, la réponse est sans ambages : « La politique est une science. Je n'ai pas appris cette science pour m’intéresser à elle. Je suis comptable de formation et j’ai opté pour la politique du développement ».
En conclusion, il a signalé que si l'expérience au Conseil Economique et Sociale était à refaire, il y regarderait par 2 fois avant de s'engager.
Institué par la Constitution du 27 décembre 2004 en tant qu'organe consultatif, le Conseil Economique et Social, effectivement mis en place en 2008, est "obligatoirement consulté sur tout plan ou tout projet de loi de programme d'action à caractère économique, social, culturel et environnemental".
« Sur 800 millions inscrits comme budget du Conseil, nous n'avons reçu que 252 millions sur une période de deux ans et demi .Cela ne suffit même pas pour organiser les sessions annuelles qui couvrent 380 millions », a-t-il expliqué.
« Le Conseil Economique et Social tient sa session deux fois par an ; du premier au 15 mars et du premier aout au 15 septembre. Les personnels sont rémunérés à chaque session selon le nombre des jours passés pendant la session », a-t-il également.
« Nous sommes à l’ère des nouvelles technologies de l’information. Il n’est pas nécessaire que je sois dans mon bureau chaque jour pour démontrer que je travaille. Je dois représenter le Conseil Economique et Social sur le plan national et international. Nous travaillons dans une administration qui fonctionne normalement », a répliqué M. Baba à ceux qui lui reprochent d'être souvent absent du bureau.
Quant à ceux qui voyaient en lui un candidat virtuel aux prochaines élections législatives, la réponse est sans ambages : « La politique est une science. Je n'ai pas appris cette science pour m’intéresser à elle. Je suis comptable de formation et j’ai opté pour la politique du développement ».
En conclusion, il a signalé que si l'expérience au Conseil Economique et Sociale était à refaire, il y regarderait par 2 fois avant de s'engager.
Institué par la Constitution du 27 décembre 2004 en tant qu'organe consultatif, le Conseil Economique et Social, effectivement mis en place en 2008, est "obligatoirement consulté sur tout plan ou tout projet de loi de programme d'action à caractère économique, social, culturel et environnemental".