« Le journaliste conventionnel fait un travail d’urgence. Il ne vise pas le résultat mais il informe seulement le public. Il recueille les informations et rapporte à un rythme périodique », a relevé M. Faye.
En revanche, « Le journaliste d’investigation fait un travail de recherche en faisant appel à des documents, reportages, faits divers »a-t-il souligné, ajoutant que pour ce dernier, « l’information ne doit pas être diffusée avant qu’elle soit cohérente et complète »
Etudiante au département de journalisme à l’université de Bangui, Mlle Guimaret a confié à l’Acap à l’issue du débat que la communication de M. Faye complète les enseignements reçus au département.
Cette formation de six jours est organisée par l’Association des Femmes Professionnelles de Communication (AFPC) et prendra fin samedi 12 février 2010.
En revanche, « Le journaliste d’investigation fait un travail de recherche en faisant appel à des documents, reportages, faits divers »a-t-il souligné, ajoutant que pour ce dernier, « l’information ne doit pas être diffusée avant qu’elle soit cohérente et complète »
Etudiante au département de journalisme à l’université de Bangui, Mlle Guimaret a confié à l’Acap à l’issue du débat que la communication de M. Faye complète les enseignements reçus au département.
Cette formation de six jours est organisée par l’Association des Femmes Professionnelles de Communication (AFPC) et prendra fin samedi 12 février 2010.