POLITIQUE
M. Ngaïssona a déclaré qu’il est surpris de la décision de la Fifa, surtout que « la sanction est infligée à un bureau qui a été mis en place après la tenue d’une Assemblée générale démocratiquement organisée et acceptée par tous ».
« Pour ne pas pénaliser le football Centrafricain, il faut que la Fifa revienne sur sa décision et accepte le bureau qui a été mis en place d’une manière démocratique », car, a-t-il relevé, « la Fifa est là pour le fair play ».
« Elle n’est pas là pour créer des tensions ou des crises au sein d’une fédération », car a-t-il souligné, « le statut de la FCF dit que seul l’Assemblée générale est l’organe suprême qui décide de démettre ou d’accréditer un bureau».
Notons que le comité exécutif de la Fifa réuni le15 décembre dernier à Tokyo, au Japon, avait rejeté les résultats des élections organisées le 29 septembre dernier à Bangui, demandant à la Fédération fentrafricaine de football d’organiser dans les trois mois qui suivent un nouveau scrutin qui serait supervisé par la Confédération Africaine de Football (CAF) et la Fifa, et en même temps demandant de mettre en place une commission de normalisation du football en Centrafrique.
Il faut rappeler que Edouard Patrice Ngaïssona a été élu président de la Fédération Centrafricaine de football à l’issue de la 23ème assemblée générale élective, avec 103 voix contre 90 au président sortant, Thierry Kamach.
« Pour ne pas pénaliser le football Centrafricain, il faut que la Fifa revienne sur sa décision et accepte le bureau qui a été mis en place d’une manière démocratique », car, a-t-il relevé, « la Fifa est là pour le fair play ».
« Elle n’est pas là pour créer des tensions ou des crises au sein d’une fédération », car a-t-il souligné, « le statut de la FCF dit que seul l’Assemblée générale est l’organe suprême qui décide de démettre ou d’accréditer un bureau».
Notons que le comité exécutif de la Fifa réuni le15 décembre dernier à Tokyo, au Japon, avait rejeté les résultats des élections organisées le 29 septembre dernier à Bangui, demandant à la Fédération fentrafricaine de football d’organiser dans les trois mois qui suivent un nouveau scrutin qui serait supervisé par la Confédération Africaine de Football (CAF) et la Fifa, et en même temps demandant de mettre en place une commission de normalisation du football en Centrafrique.
Il faut rappeler que Edouard Patrice Ngaïssona a été élu président de la Fédération Centrafricaine de football à l’issue de la 23ème assemblée générale élective, avec 103 voix contre 90 au président sortant, Thierry Kamach.
