Organisé par le Réseau des femmes centrafricaines pour la paix, le développement et la démocratie (RFCP), avec le concours financier du Fonds canadien d’appui aux initiatives locales, ces assises regroupe une centaine de cadres des différents départements ministériels, qui vont durant trois jours réfléchir sur les voies et moyens d’améliorer le niveau de performance et l’éthique dans l’administration publique.
« la bonne gouvernance et la corruption sont des sujets majeurs pour le développement de la Centrafrique », a déclaré M. Meckassoua dans son discours d’ouverture, précisant que la pauvreté ne peut être sensiblement réduite que par le renforcement des pratiques de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption dans toutes les sphères, en commençant par l’administration publique.
Quant à la coordonnatrice du réseau, M. Marguerite Pétrokoni Zézé, elle a rappelé que le RFCP a été créé en 1996 et regroupe en son sein des femmes leaders déterminées à œuvrer pour la paix et soutenir le gouvernement centrafricain dans ses efforts pour promouvoir le développement économique et social de la République Centrafricaine.
« la bonne gouvernance et la corruption sont des sujets majeurs pour le développement de la Centrafrique », a déclaré M. Meckassoua dans son discours d’ouverture, précisant que la pauvreté ne peut être sensiblement réduite que par le renforcement des pratiques de la bonne gouvernance et de la lutte contre la corruption dans toutes les sphères, en commençant par l’administration publique.
Quant à la coordonnatrice du réseau, M. Marguerite Pétrokoni Zézé, elle a rappelé que le RFCP a été créé en 1996 et regroupe en son sein des femmes leaders déterminées à œuvrer pour la paix et soutenir le gouvernement centrafricain dans ses efforts pour promouvoir le développement économique et social de la République Centrafricaine.