Organisée par le ministère de la Famille en partenariat avec le Bureau de l’Organisation des Nations Unies en Centrafrique (Bonuca), cette séance a pour but d’interpeller la conscience de tous les acteurs du pouvoir judiciaire sur les différentes formes de violences faites aux femmes.
Dans son intervention, Mme Ndakala a déclaré que « les violences basées sur le genre continuent de faire partie des tristes réalités quotidiennes de notre société, du fait de la survivance de certaines valeurs traditionnelles dont les violences domestiques, les mutilations génitales féminines, les viols de femmes et de filles », précisant que ce plaidoyer en faveur des femmes est organisée afin de permettre aux professionnels du Droit de réfléchir sur les voies et moyens de lutter efficacement contre les violences faites aux femmes.
Mme Ndakala a expliqué que selon une enquête réalisée avec l’appui de l’UNFPA en 2006 dans 8 localités des zones affectées par les conflits armés, sur 1596 personnes victimes de violences de tout genre, on compte 677 personnes victimes de viol dont 92,9% de femmes.
Madame. Angèle Kinouani de la section Droit de l’Homme au BONUCA a pour sa part déclaré que la célébration de « la journée internationale de la femme est une occasion de faire le bilan des réalisations relatives à la promotion des droit de la femme afin d’améliorer sa condition ».
Elle a déclaré que l’organisation de cette séance de plaidoyer en faveur des femmes à l’endroit des magistrats et officiers de police judiciaire est très capitale car « les droits de la femme et de la femme centrafricaine sont régulièrement bafoués en dépit des textes internationaux ratifiés par la République Centrafricaine ».
Elle a enfin fait observer que la justice a un rôle très important à jouer dans l’instauration d’une paix durable en Centrafrique.
Cette cérémonie de plaidoyer s’est déroulée en présence du ministre de la Justice Garde des seaux, M. Paul Otto et une centaine des magistrats et des officiers de police judiciaire, pour analyser les causes profondes de l’impunité des violences faites aux femmes.
Dans son intervention, Mme Ndakala a déclaré que « les violences basées sur le genre continuent de faire partie des tristes réalités quotidiennes de notre société, du fait de la survivance de certaines valeurs traditionnelles dont les violences domestiques, les mutilations génitales féminines, les viols de femmes et de filles », précisant que ce plaidoyer en faveur des femmes est organisée afin de permettre aux professionnels du Droit de réfléchir sur les voies et moyens de lutter efficacement contre les violences faites aux femmes.
Mme Ndakala a expliqué que selon une enquête réalisée avec l’appui de l’UNFPA en 2006 dans 8 localités des zones affectées par les conflits armés, sur 1596 personnes victimes de violences de tout genre, on compte 677 personnes victimes de viol dont 92,9% de femmes.
Madame. Angèle Kinouani de la section Droit de l’Homme au BONUCA a pour sa part déclaré que la célébration de « la journée internationale de la femme est une occasion de faire le bilan des réalisations relatives à la promotion des droit de la femme afin d’améliorer sa condition ».
Elle a déclaré que l’organisation de cette séance de plaidoyer en faveur des femmes à l’endroit des magistrats et officiers de police judiciaire est très capitale car « les droits de la femme et de la femme centrafricaine sont régulièrement bafoués en dépit des textes internationaux ratifiés par la République Centrafricaine ».
Elle a enfin fait observer que la justice a un rôle très important à jouer dans l’instauration d’une paix durable en Centrafrique.
Cette cérémonie de plaidoyer s’est déroulée en présence du ministre de la Justice Garde des seaux, M. Paul Otto et une centaine des magistrats et des officiers de police judiciaire, pour analyser les causes profondes de l’impunité des violences faites aux femmes.