Selon M. Déi, cet accord ouvre la voie au Pam et à l’Unicef, qui ont toujours coopéré, de « mener un front commun et de converger leurs efforts » en vue de rendre plus efficace leurs interventions dans les différents domaines concernés par l’accord.
Pour le représentant de l’Unicef, M. Mahimbo Mdoe « cet accord va nous permettre d’agir plus vite et plus efficacement en faveur des populations vulnérables et plus particulièrement des enfants, très touchés par le conflit et ses conséquences ».
Selon M. Mdoe, le Pam et l’Unicef sont tenus d’unir leurs forces pour alléger les souffrances des populations. Car, a-t-il expliqué, « la République Centrafricaine traverse une grave crise humanitaire qu’accentuent la saison des pluies et la raréfaction des ressources en eau et nourriture ».
Dans le domaine de la nutrition, l’accord prévoit une prise en charge de 12.500 enfants, 12.500 mères et 5 000 femmes enceintes et allaitantes dans des centres de santé maternelle et infantile, dont le personnel a été formé pour la détection des cas de malnutrition. Selon les enquêtes, « la nutrition constitue un problème de santé publique en Centrafrique ».
Quant à l’Education, les deux agences onusiennes s’engagent à assurer le retour et le maintien de 100.000 enfants au préscolaire et primaire dans le Nord-ouest et le Sud-ouest du pays à travers la création des centres qui s’occuperont de leur éducation de base pour leur développement intégral.
Ces zones ont été identifiées parce que les événements militaro-politiques ont occasionné la fermeture de la plupart des établissements scolaires et voir la destruction des bâtiments.
Des mesures sanitaires sont également programmées. Il s’agit de la distribution des comprimés de Mébendazole afin de réduire la prévalence des infections parasitaires.
Pour ce qui concerne le Vih/sida, des formations sanitaires des régions concernées seront dotées de kits de dépistage et en médicaments antirétroviraux afin de réduire la transmission du Vih/sida de la mère à l’enfant. Les deux parties répondront également aux besoins de 34.
000 personnes vivant avec le sida, ainsi que la prise en charge pédiatrique des enfants infectés.
Pour le représentant de l’Unicef, M. Mahimbo Mdoe « cet accord va nous permettre d’agir plus vite et plus efficacement en faveur des populations vulnérables et plus particulièrement des enfants, très touchés par le conflit et ses conséquences ».
Selon M. Mdoe, le Pam et l’Unicef sont tenus d’unir leurs forces pour alléger les souffrances des populations. Car, a-t-il expliqué, « la République Centrafricaine traverse une grave crise humanitaire qu’accentuent la saison des pluies et la raréfaction des ressources en eau et nourriture ».
Dans le domaine de la nutrition, l’accord prévoit une prise en charge de 12.500 enfants, 12.500 mères et 5 000 femmes enceintes et allaitantes dans des centres de santé maternelle et infantile, dont le personnel a été formé pour la détection des cas de malnutrition. Selon les enquêtes, « la nutrition constitue un problème de santé publique en Centrafrique ».
Quant à l’Education, les deux agences onusiennes s’engagent à assurer le retour et le maintien de 100.000 enfants au préscolaire et primaire dans le Nord-ouest et le Sud-ouest du pays à travers la création des centres qui s’occuperont de leur éducation de base pour leur développement intégral.
Ces zones ont été identifiées parce que les événements militaro-politiques ont occasionné la fermeture de la plupart des établissements scolaires et voir la destruction des bâtiments.
Des mesures sanitaires sont également programmées. Il s’agit de la distribution des comprimés de Mébendazole afin de réduire la prévalence des infections parasitaires.
Pour ce qui concerne le Vih/sida, des formations sanitaires des régions concernées seront dotées de kits de dépistage et en médicaments antirétroviraux afin de réduire la transmission du Vih/sida de la mère à l’enfant. Les deux parties répondront également aux besoins de 34.
000 personnes vivant avec le sida, ainsi que la prise en charge pédiatrique des enfants infectés.