Selon Elie Doté, aucun développement durable et le progrès ne peuvent s’accomplir sans l’implication individuelle ou collective des femmes.
« Femmes de Centrafrique, vous êtes des partenaires incontournables ; vous resterez au centre de toutes nos actions », a-t-il fait remarquer, déclarant que le gouvernement veillera avec un soin particulier à la stricte application des instruments juridiques relatifs à la protection et à la promotion des droits de la femme.
La ministre des Affaires sociales, de la Famille et de la solidarité nationale Mme Marie Solange Pagonéndji Ndakala a pour sa part fait remarquer qu’il existe une inégalité importante entre les hommes et les femmes en Centrafrique, qu’il s’agisse de l’éducation, de la santé, des revues ou de la participation aux prises de décision.
« A cette inégalité s’ajoute la question des violences à l’égard des femmes », a-t-elle ajouté, expliquant qu’on remarque aujourd’hui en Centrafrique la recrudescence des violences perpétrées à l’endroit des femmes et des filles, suite aux multiples crises qu’a connues le pays ces dernières années.
Mme Ndakala a expliqué que ces violences sont sexuelles pour la plupart et laissent des stigmates sur le plan physique, psychologique, sanitaires et même socioéconomique. Selon elle, « les violences faites aux femmes sont encrées dans les esprits. Le silence complice de la société et l’acceptation passive de leur sort maintiennent les femmes dans une insécurité permanente ».
Elle a également fait remarquer que « malgré l’existence d’un environnement juridique favorable à la protection et à la promotion des Droits de la femme dans notre pays, les femmes centrafricaines continuent à être victime de toute forme de violence ».
Elle a conclu que la célébration de cette journée internationale de la femme sur le thème « Rompre avec l’impunité des violences faites aux femmes », choisi par les Nations Unies, est une occasion d’assurer l’attention du public sur les inégalités auxquelles sont soumises les femmes afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Il convient de rappeler que la cérémonie a été présidée par le Président de République François Bozizé. A cette occasion, 8 femmes ont reçu des décorations à titre exceptionnel parmi lesquelles Mme Martine Kofio mère du Président de la République et Mme Brigitte Dacko, épouse du feu président David Dacko, élevées toutes deux à la Dignité de Grand officiers dans l’ordre du mérite centrafricain.
Un match de football opposant les filles du 4ème et 8ème arrondissement de Bangui s’est également joué au complexe sportif Barthélémy Boganda à Bangui, en présence de Mme Monique Bozizé, et remporté par les filles du 4ème Arrondissement sur le score de 2 buts à zéro.
Jérémie Soupou/ACAP
« Femmes de Centrafrique, vous êtes des partenaires incontournables ; vous resterez au centre de toutes nos actions », a-t-il fait remarquer, déclarant que le gouvernement veillera avec un soin particulier à la stricte application des instruments juridiques relatifs à la protection et à la promotion des droits de la femme.
La ministre des Affaires sociales, de la Famille et de la solidarité nationale Mme Marie Solange Pagonéndji Ndakala a pour sa part fait remarquer qu’il existe une inégalité importante entre les hommes et les femmes en Centrafrique, qu’il s’agisse de l’éducation, de la santé, des revues ou de la participation aux prises de décision.
« A cette inégalité s’ajoute la question des violences à l’égard des femmes », a-t-elle ajouté, expliquant qu’on remarque aujourd’hui en Centrafrique la recrudescence des violences perpétrées à l’endroit des femmes et des filles, suite aux multiples crises qu’a connues le pays ces dernières années.
Mme Ndakala a expliqué que ces violences sont sexuelles pour la plupart et laissent des stigmates sur le plan physique, psychologique, sanitaires et même socioéconomique. Selon elle, « les violences faites aux femmes sont encrées dans les esprits. Le silence complice de la société et l’acceptation passive de leur sort maintiennent les femmes dans une insécurité permanente ».
Elle a également fait remarquer que « malgré l’existence d’un environnement juridique favorable à la protection et à la promotion des Droits de la femme dans notre pays, les femmes centrafricaines continuent à être victime de toute forme de violence ».
Elle a conclu que la célébration de cette journée internationale de la femme sur le thème « Rompre avec l’impunité des violences faites aux femmes », choisi par les Nations Unies, est une occasion d’assurer l’attention du public sur les inégalités auxquelles sont soumises les femmes afin d’améliorer leurs conditions de vie.
Il convient de rappeler que la cérémonie a été présidée par le Président de République François Bozizé. A cette occasion, 8 femmes ont reçu des décorations à titre exceptionnel parmi lesquelles Mme Martine Kofio mère du Président de la République et Mme Brigitte Dacko, épouse du feu président David Dacko, élevées toutes deux à la Dignité de Grand officiers dans l’ordre du mérite centrafricain.
Un match de football opposant les filles du 4ème et 8ème arrondissement de Bangui s’est également joué au complexe sportif Barthélémy Boganda à Bangui, en présence de Mme Monique Bozizé, et remporté par les filles du 4ème Arrondissement sur le score de 2 buts à zéro.
Jérémie Soupou/ACAP