Le Chargé de mission Bruno Yapandé a déploré que « la République Centrafricaine, bien que disposant de potentialités culturelles, peine à les mettre en valeur faute de moyens, cinquante ans après l’accession du pays à l’indépendance » .
Pour sa part, le Président de la Fédération Centrafricaine du Théâtre (FCAT), Koïsset Gonitoua, a déclaré que « le théâtre centrafricain traverse une crise qui a duré 20 ans qu’il est temps de le faire sortir de cette situation, d’où l’organisation de ce festival ».
Sur d’autres plans, le souci du président de la Fédération Centrafricaine du Théâtre est de « susciter l’envie de faire pratiquer le théâtre aux jeunes ; donner au théâtre un circuit international de diffusion ; inciter le public à prendre goût au théâtre ; étendre les activités du théâtre dans tout le pays, enfin, institutionnaliser le théâtre ».
La sixième édition du Festival national d’art dramatique a bénéficié de l’appui matériel et financier du gouvernent, des sociétés telles que la Société Nationale de Transport Urbain (SONATU), Telecel Centrafrique, MOCAF, Media Print et le Groupe AÏMAR.
Pour sa part, le Président de la Fédération Centrafricaine du Théâtre (FCAT), Koïsset Gonitoua, a déclaré que « le théâtre centrafricain traverse une crise qui a duré 20 ans qu’il est temps de le faire sortir de cette situation, d’où l’organisation de ce festival ».
Sur d’autres plans, le souci du président de la Fédération Centrafricaine du Théâtre est de « susciter l’envie de faire pratiquer le théâtre aux jeunes ; donner au théâtre un circuit international de diffusion ; inciter le public à prendre goût au théâtre ; étendre les activités du théâtre dans tout le pays, enfin, institutionnaliser le théâtre ».
La sixième édition du Festival national d’art dramatique a bénéficié de l’appui matériel et financier du gouvernent, des sociétés telles que la Société Nationale de Transport Urbain (SONATU), Telecel Centrafrique, MOCAF, Media Print et le Groupe AÏMAR.