POLITIQUE
Pour cela, a-t-il précisé, les gouvernements centrafricains et tchadiens ainsi que le Secrétaire général des Nations Unies, M.Ban Ki- Moon, décideront du volume de la force à déployer.
Le général Ganascia a également indiqué que l’Eufor, dont le mandat expire au bout des quatre mois à venir, dispose des moyens aéromobiles nécessaires pour s’opposer à toute perturbation et menace majeure sur la population, sans entrer dans les conflits internes qui agitent certains pays car, a-t-il précisé, « notre mandat ne nous permet pas de prendre position et d’intervenir militairement ».
L’Eufor dispose à l’heure actuelle d’environ 3 200 personnes représentant dix neuf pays membres de l’Union Européenne et attend, au mois de novembre prochain, l’arrivée d’une centaine de personnels de l’armée russe avec quatre hélicoptères de transport afin de renforcer ses moyens aéromobiles. A cela s’ajoute deux pays n’étant pas membres de l’Union Européenne, à savoir l’Albanie et la Croatie, a-t-il précisé.
Le commandant de l’Eufor a, par ailleurs, confirmé la recrudescence de l’insécurité dans la région de Birao (Nord-est de la République Centrafricaine), qu’il a mise sur le compte du début de la saison sèche et la présence de nombreux véhicules d’assistance humanitaire.
« Ce sont des problèmes de coupeurs de route au sens large, puisqu’il y a tellement d’armes qui circulent et bien sûr énormément de gens qui se transforment rapidement en coupeurs de route », a-t-il expliqué.
« Il y a des problèmes traditionnels et ancestraux de croisement entre les nomades et les agriculteurs », a-t-il également relevé, soulignant qu’il appartient à l’Etat centrafricain de régler ce problème en tenant en compte des paramètres sociologiques.
Il faut rappeler que le 25 septembre 2007, le Conseil de Sécurité des Nations Unies a adopté à l’unanimité la résolution 1778 autorisant le déploiement dans l’Est du Tchad et le Nord-Est de la République Centrafricaine d’une force européenne censée protéger les populations civiles et faciliter l’assistance humanitaire en attendant la mise en place d’une force des Nations Unies.
Le général Ganascia a également indiqué que l’Eufor, dont le mandat expire au bout des quatre mois à venir, dispose des moyens aéromobiles nécessaires pour s’opposer à toute perturbation et menace majeure sur la population, sans entrer dans les conflits internes qui agitent certains pays car, a-t-il précisé, « notre mandat ne nous permet pas de prendre position et d’intervenir militairement ».
L’Eufor dispose à l’heure actuelle d’environ 3 200 personnes représentant dix neuf pays membres de l’Union Européenne et attend, au mois de novembre prochain, l’arrivée d’une centaine de personnels de l’armée russe avec quatre hélicoptères de transport afin de renforcer ses moyens aéromobiles. A cela s’ajoute deux pays n’étant pas membres de l’Union Européenne, à savoir l’Albanie et la Croatie, a-t-il précisé.
Le commandant de l’Eufor a, par ailleurs, confirmé la recrudescence de l’insécurité dans la région de Birao (Nord-est de la République Centrafricaine), qu’il a mise sur le compte du début de la saison sèche et la présence de nombreux véhicules d’assistance humanitaire.
« Ce sont des problèmes de coupeurs de route au sens large, puisqu’il y a tellement d’armes qui circulent et bien sûr énormément de gens qui se transforment rapidement en coupeurs de route », a-t-il expliqué.
« Il y a des problèmes traditionnels et ancestraux de croisement entre les nomades et les agriculteurs », a-t-il également relevé, soulignant qu’il appartient à l’Etat centrafricain de régler ce problème en tenant en compte des paramètres sociologiques.
Il faut rappeler que le 25 septembre 2007, le Conseil de Sécurité des Nations Unies a adopté à l’unanimité la résolution 1778 autorisant le déploiement dans l’Est du Tchad et le Nord-Est de la République Centrafricaine d’une force européenne censée protéger les populations civiles et faciliter l’assistance humanitaire en attendant la mise en place d’une force des Nations Unies.
