Cet atelier de trois jours vise à réactualiser le programme national de santé des adolescents et des jeunes afin de permettre à la Centrafrique de disposer d’un nouvel outil de référence, qui pourrait permettre de répondre efficacement aux besoins spécifiques des adolescents et des jeunes dans le domaine de la santé.
Dans cette optique, ce séminaire permet d’harmoniser le contenu du Programme à travers des propositions de mesures susceptibles d’améliorer la performance des interventions, en vue de l’amélioration de la santé des populations cibles.
Dans son intervention, le docteur Eugène Serdouma a déclaré que la réactualisation de ce document est une urgence compte tenu des insuffisances relevées dans le document élaboré en 1998 et dont « les données recueillies ne concernaient que la ville de Bangui et ne reflétaient pas les réalités nationales ».
« En effet, certains aspects des problèmes relatifs aux violences sexuelles, à la santé mentale, à la lutte contre les Ist/sida, la drogue, le tabagisme, les mutilations génitales féminines, en particulier l’excision chez les filles, les avortements clandestins, les grossesses non désirées ont été occultés », a-t-il relevé.
Face à ce déficit, la révision et la réactualisation du document s’imposent, car, a-t-il indiqué, « les problèmes de santé des adolescents sont inter liés et doivent être exécutés de façon décentralisée en tenant compte du découpage sanitaire qui est en train de se restructurer après les différents conflits militaro politiques ».
Il a enfin fait observer que le Programme, dès que révisé et réactualisé, servira à orienter la programmation des interventions clé et constituera une garantie à la prise en charge sanitaire des adolescents et des jeunes.
En fonction de sa portée, ce séminaire de validation regroupe une vingtaine de participants venus des différents ministères impliqués, à savoir les ministères du plan, de la jeunesse, de l’éducation nationale, des affaires sociales.
Dans cette optique, ce séminaire permet d’harmoniser le contenu du Programme à travers des propositions de mesures susceptibles d’améliorer la performance des interventions, en vue de l’amélioration de la santé des populations cibles.
Dans son intervention, le docteur Eugène Serdouma a déclaré que la réactualisation de ce document est une urgence compte tenu des insuffisances relevées dans le document élaboré en 1998 et dont « les données recueillies ne concernaient que la ville de Bangui et ne reflétaient pas les réalités nationales ».
« En effet, certains aspects des problèmes relatifs aux violences sexuelles, à la santé mentale, à la lutte contre les Ist/sida, la drogue, le tabagisme, les mutilations génitales féminines, en particulier l’excision chez les filles, les avortements clandestins, les grossesses non désirées ont été occultés », a-t-il relevé.
Face à ce déficit, la révision et la réactualisation du document s’imposent, car, a-t-il indiqué, « les problèmes de santé des adolescents sont inter liés et doivent être exécutés de façon décentralisée en tenant compte du découpage sanitaire qui est en train de se restructurer après les différents conflits militaro politiques ».
Il a enfin fait observer que le Programme, dès que révisé et réactualisé, servira à orienter la programmation des interventions clé et constituera une garantie à la prise en charge sanitaire des adolescents et des jeunes.
En fonction de sa portée, ce séminaire de validation regroupe une vingtaine de participants venus des différents ministères impliqués, à savoir les ministères du plan, de la jeunesse, de l’éducation nationale, des affaires sociales.