La cérémonie d’ouverture s’est déroulée en présence du ministre de la Santé publique et de la Population, le docteur Bernard Lala, de M. Maxime Mbringa Takama, qui représentait le Programme des Nations Unies pour le développement (Pnud) et de Mme Hyacinthe Wodobodé, coordonnatrice du Secrétariat technique du Comité national de la lutte contre le sida (C NLS).
M. Lala a indiqué que toutes les couches centrafricaines sont touchées par la pandémie du Sida et qu’il est nécessaire qu’une mise en application immédiate du protocole d’accord s’avère importante, relevant la réduction du taux de prévalence en RCA qui est passé de 12% à 6,2% d’après l’enquête MIC III de 2006.
M Maxime Mbringa Takama, a pour sa part salué la coopération entre la République Centrafricaine et le Pnud dans le cadre de la lutte contre le Sida et appelle les praticiens de la santé de mettre ces médicaments à la disposition des malades de Bangui et à ceux des provinces afin de réduire au maximum cette infection.
Trois jours durant, les chefs des régions sanitaires, les médecins les prescripteurs des Arv, les pharmaciens et les personnes vivants avec ce fléau, vont mené des réflexions et des échanges d’expériences sur des bases factuelles en vue de mettre en œuvre l’utilisation rationnelle de ces médicaments pour le passage à l’échelle de l’accès à la thérapie antirétrovirale.
M. Lala a indiqué que toutes les couches centrafricaines sont touchées par la pandémie du Sida et qu’il est nécessaire qu’une mise en application immédiate du protocole d’accord s’avère importante, relevant la réduction du taux de prévalence en RCA qui est passé de 12% à 6,2% d’après l’enquête MIC III de 2006.
M Maxime Mbringa Takama, a pour sa part salué la coopération entre la République Centrafricaine et le Pnud dans le cadre de la lutte contre le Sida et appelle les praticiens de la santé de mettre ces médicaments à la disposition des malades de Bangui et à ceux des provinces afin de réduire au maximum cette infection.
Trois jours durant, les chefs des régions sanitaires, les médecins les prescripteurs des Arv, les pharmaciens et les personnes vivants avec ce fléau, vont mené des réflexions et des échanges d’expériences sur des bases factuelles en vue de mettre en œuvre l’utilisation rationnelle de ces médicaments pour le passage à l’échelle de l’accès à la thérapie antirétrovirale.