Cette conférence de presse avait pour but de rendre compte des discussions entre les membres de la délégation de la mission du FMI qui a séjourné à Bangui du 4 au 19 avril 2012 avec le gouvernement de la République Centrafricaine.
Selon M. Norbert Toé, chef de mission de la délégation du FMI, les discussions avec le gouvernement ont porté sur le programme économique du gouvernement axé sur quatre points, à savoir : la consolidation de la stabilité du cadre macroéconomique ; l’augmentation des ressources budgétaires ; la mise en œuvre efficace des politiques économiques ; enfin, l’élimination des obstacles à la croissance.
D’après la déclaration rendue publique au terme de la mission du FMI en République Centrafricaine, il est ressorti que « l’activité économique est plus dynamique en 2011 que les projections de novembre, stimulée par une production plus importante du secteur primaire et la production de l’or et du diamant.
Le Produit intérieur brut (PIB) a enregistré une croissance de 3,3% contre 3,0 en 2010 et le taux d’inflation, pourtant en décrue depuis entre 2008 et 2011, est passé de 1,2% en moyenne annuelle en 2011 au-delà de 3%.
Le déficit du compte courant extérieur est tombé à 7,5% en 2011 grâce à de meilleures performances à l’exportation, en particulier de grumes et des matières précieuses et à un maintien des importations en valeur.
Le déficit budgétaire global a continué de s’accroître en 2011, en raison d’une maîtrise insuffisante des dépenses pour compenser la diminution des recettes et la suspension des appuis budgétaires extérieurs.
Toujours selon la déclaration du FMI, dans le domaine financier, les créances douteuses ont augmenté en 2011 mais les banques demeurent bien capitalisées et les ratios prudentiels sont respectés.
Par rapport à la suppression de la subvention des produits pétroliers, la mission a proposé la nécessité de prendre des mesures ciblées pour protéger les couches sociales les plus vulnérables de la population.
Notons que les dissuasions entre le gouvernement centrafricain et le Fonds Monétaire International vont se poursuivre à Washington en vue de parvenir à un accord sur le mémorandum de politique économique et financière, base d’un programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit, qui ne sera rien d’autre qu’un prêt.
Selon M. Norbert Toé, chef de mission de la délégation du FMI, les discussions avec le gouvernement ont porté sur le programme économique du gouvernement axé sur quatre points, à savoir : la consolidation de la stabilité du cadre macroéconomique ; l’augmentation des ressources budgétaires ; la mise en œuvre efficace des politiques économiques ; enfin, l’élimination des obstacles à la croissance.
D’après la déclaration rendue publique au terme de la mission du FMI en République Centrafricaine, il est ressorti que « l’activité économique est plus dynamique en 2011 que les projections de novembre, stimulée par une production plus importante du secteur primaire et la production de l’or et du diamant.
Le Produit intérieur brut (PIB) a enregistré une croissance de 3,3% contre 3,0 en 2010 et le taux d’inflation, pourtant en décrue depuis entre 2008 et 2011, est passé de 1,2% en moyenne annuelle en 2011 au-delà de 3%.
Le déficit du compte courant extérieur est tombé à 7,5% en 2011 grâce à de meilleures performances à l’exportation, en particulier de grumes et des matières précieuses et à un maintien des importations en valeur.
Le déficit budgétaire global a continué de s’accroître en 2011, en raison d’une maîtrise insuffisante des dépenses pour compenser la diminution des recettes et la suspension des appuis budgétaires extérieurs.
Toujours selon la déclaration du FMI, dans le domaine financier, les créances douteuses ont augmenté en 2011 mais les banques demeurent bien capitalisées et les ratios prudentiels sont respectés.
Par rapport à la suppression de la subvention des produits pétroliers, la mission a proposé la nécessité de prendre des mesures ciblées pour protéger les couches sociales les plus vulnérables de la population.
Notons que les dissuasions entre le gouvernement centrafricain et le Fonds Monétaire International vont se poursuivre à Washington en vue de parvenir à un accord sur le mémorandum de politique économique et financière, base d’un programme appuyé par la Facilité Elargie de Crédit, qui ne sera rien d’autre qu’un prêt.