POLITIQUE
Selon lui, les travaux de réhabilitation et d’extension de l’aérogare Bangui Mpoko s’effectueront en deux et nécessitent un financement de 4 millions d’euro, soit environ 9 milliards Fcfa.
Selon le ministre d’Etat Anicet Parfait Mbay, la Banque de Développement de l’Afrique (BDAC) a déjà accepté de financer le projet dans le cadre de la mise en normes de l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile (OACI), de l’ensemble des infrastructures aéroportuaires de Bangui Mpoko d’ici fin 2011.
Il a rappelé que l’audite réalisé en 2007 par l’OACI a relevé plusieurs carences dans plusieurs domaines, entre autres l’absence d’une clôture autour du périmètre de la plate-forme aéroportuaire de Bangui pour sécuriser l’accès à la piste, aux installations aéroportuaires mais surtout l’inadéquation de l’aérogare Bangui M’Poko.
Pour le ministre d’Etat Mbay, cette inadéquation relevée par l’ OACI s’explique par le fait que « depuis sa mise en service, le trafic a littéralement explosé en passant de 23 milles passagers en 2003 à plus de 100 milles passagers en 2008 ».
Il convient de rappeler que l’aéroport Bangui M’Poko a été mis en service en 1967. Depuis cette date, ses installations n’ont pas été renouvelées pour répondre aux normes internationales actuelles.
C’est dans ce sens que l’Agence française de développement (AFD) avait financé les études relatives au renforcement des chaussées aéronautiques de Bangui.
Selon le ministre d’Etat Anicet Parfait Mbay, la Banque de Développement de l’Afrique (BDAC) a déjà accepté de financer le projet dans le cadre de la mise en normes de l’Organisation Internationale de l’Aviation Civile (OACI), de l’ensemble des infrastructures aéroportuaires de Bangui Mpoko d’ici fin 2011.
Il a rappelé que l’audite réalisé en 2007 par l’OACI a relevé plusieurs carences dans plusieurs domaines, entre autres l’absence d’une clôture autour du périmètre de la plate-forme aéroportuaire de Bangui pour sécuriser l’accès à la piste, aux installations aéroportuaires mais surtout l’inadéquation de l’aérogare Bangui M’Poko.
Pour le ministre d’Etat Mbay, cette inadéquation relevée par l’ OACI s’explique par le fait que « depuis sa mise en service, le trafic a littéralement explosé en passant de 23 milles passagers en 2003 à plus de 100 milles passagers en 2008 ».
Il convient de rappeler que l’aéroport Bangui M’Poko a été mis en service en 1967. Depuis cette date, ses installations n’ont pas été renouvelées pour répondre aux normes internationales actuelles.
C’est dans ce sens que l’Agence française de développement (AFD) avait financé les études relatives au renforcement des chaussées aéronautiques de Bangui.
