Selon M. Gouandjika, cette rencontre, qui traduit la volonté du président Bozizé et du gouvernement centrafricain d’instaurer un dialogue permanent avec l’ensemble de la communauté centrafricaine dans le cadre d’une démocratie participative, visait à « informer les compatriotes des réalités politiques et socioéconomiques du pays depuis le retour à la légalité constitutionnelle et à recueillir leurs avis et contributions sur toutes les grandes mutations qui s’opèrent dans notre pays ».
M. Gouandjika a également indiqué que les « débats contradictoires mais constructifs » qui ont eu lieu « dans une ambiance fraternelle » ont permis aux membres de la délégation gouvernementale d’enregistrer les préoccupations de la communauté centrafricaine de Bordeaux, qui s’articulent autour de 8 points répartis en 2 catégories.
La première catégorie concerne le respect de la Constitution et la stricte application de ses dispositions, le renforcement de l’Etat de droit et de la bonne gouvernance, la consolidation de la paix et de la sécurité.
La seconde catégorie, consacrée à la vie quotidienne des Centrafricains de Bordeaux, concerne la facilitation des procédures de délivrance des documents administratifs (passeports, carte d’identité, etc.), l’ouverture sans délai d’un consulat de la République Centrafricaine à Bordeaux, le problème des bourses d’études et du rapatriement des étudiants et stagiaires en fin de formation, la mise en place d’une politique de promotion des Centrafricains de la diaspora souhaitant investir dans leur pays ainsi que la révision pour une bonne lisibilité des accords liant la France à la République Centrafricaine en vue d’une bonne exploitation des ressources minières de la RCA.
La rencontre de Bègles faisait suite à celle de Toulouse, le 7 janvier dernier, qui avait permis à M. Gouandjika d’informer la communauté centrafricaine de cette ville du Sud-ouest de la France et d’enregistrer les préoccupations de celle-ci.
Les Centrafricains de Toulouse avaient alors salué l'initiative et l'importance d'une telle rencontre qu'ils ont souhaité désormais périodique et ont appelé l'attention du gouvernement et du Président de la République sur l'organisation d'une concertation nationale avec tous les Centrafricains de la diaspora, en l'occurrence les diplômés et les investisseurs en vue de créer les conditions de leur retour au pays.
M. Gouandjika a également indiqué que les « débats contradictoires mais constructifs » qui ont eu lieu « dans une ambiance fraternelle » ont permis aux membres de la délégation gouvernementale d’enregistrer les préoccupations de la communauté centrafricaine de Bordeaux, qui s’articulent autour de 8 points répartis en 2 catégories.
La première catégorie concerne le respect de la Constitution et la stricte application de ses dispositions, le renforcement de l’Etat de droit et de la bonne gouvernance, la consolidation de la paix et de la sécurité.
La seconde catégorie, consacrée à la vie quotidienne des Centrafricains de Bordeaux, concerne la facilitation des procédures de délivrance des documents administratifs (passeports, carte d’identité, etc.), l’ouverture sans délai d’un consulat de la République Centrafricaine à Bordeaux, le problème des bourses d’études et du rapatriement des étudiants et stagiaires en fin de formation, la mise en place d’une politique de promotion des Centrafricains de la diaspora souhaitant investir dans leur pays ainsi que la révision pour une bonne lisibilité des accords liant la France à la République Centrafricaine en vue d’une bonne exploitation des ressources minières de la RCA.
La rencontre de Bègles faisait suite à celle de Toulouse, le 7 janvier dernier, qui avait permis à M. Gouandjika d’informer la communauté centrafricaine de cette ville du Sud-ouest de la France et d’enregistrer les préoccupations de celle-ci.
Les Centrafricains de Toulouse avaient alors salué l'initiative et l'importance d'une telle rencontre qu'ils ont souhaité désormais périodique et ont appelé l'attention du gouvernement et du Président de la République sur l'organisation d'une concertation nationale avec tous les Centrafricains de la diaspora, en l'occurrence les diplômés et les investisseurs en vue de créer les conditions de leur retour au pays.