Dans une déclaration rendue publique peu après l’annonce du chef de l’Etat, Le Coordonnateur de l’Ufvn, maître Henri Pouzère, a justifié cette décision par des griefs à l’endroit de ce dernier, à savoir notamment « la surreprésentation des pouvoirs publics et sa majorité », « le silence coupable du chef de l’Etat face aux injures et menaces de mort proférées à l’endroit des membres de l’opposition ».
L’Ufvn conteste également « la détermination du lieu par le Président de la République, alors que cela relève de la compétence du comité préparatoire » et l’absence de garanties quant à la participation des compatriotes de l’extérieur » ainsi que « la désignation du président du comité préparatoire par le Président de la République ».
Réagissant mercredi à la décision de l’Ufvn, M. Cyriaque Gonda, porte-parole du Président de la République, lui a demandé de se ressaisir pour que le dialogue politique inclusif en cours de préparation puisse se tenir dans l’intérêt du peuple centrafricain.
« Nous sommes tous condamnés à nous entendre pour mettre fin aux souffrances du peuple centrafricain et que ce dialogue se tiendra dans des bonnes conditions avec la participation de tous », a notamment déclaré M. Gonda dans un communiqué de presse.
Selon M. Gonda, l’opposition politique démocratique, qui a demandé le dialogue politique inclusif, devra s’armer de beaucoup de patience, de froideur d’analyse, de sagesse et, surtout, de patriotisme.
Quant au porte-parole du gouvernement, M. Aurélien Simplice Zingas, il a justifié la tenue à Bangui de ce dialogue par l’impossibilité pour l’Etat, en butte à d’énormes difficultés financières, d’organiser à l’extérieur ce forum auquel devraient participer quelque 400 personnes.
M. Zingas a également évoqué la nécessité pour la population centrafricaine de suivre le déroulement des travaux de ce dialogue.
Il a, par ailleurs, rappelé que l’ancien président André Kolingba avait bien fait le déplacement de Bangui, en octobre 2003 pour prendre part aux travaux du Dialogue Nationale et que l’ancien chef rebelle Abdoulaye Miskine avait séjourné sans encombres à Bangui, en février 2007, avant de quitter le pays.
Cette controverse autour du prochain dialogue politique inclusif intervient au lendemain d’une réunion tenue par le Président de la République avec les partis politiques et la société civile, et au terme de laquelle il a annoncé que le comité préparatoire de ce dialogue serait composé de 23 personnalités issues d’horizons divers.
L’Ufvn conteste également « la détermination du lieu par le Président de la République, alors que cela relève de la compétence du comité préparatoire » et l’absence de garanties quant à la participation des compatriotes de l’extérieur » ainsi que « la désignation du président du comité préparatoire par le Président de la République ».
Réagissant mercredi à la décision de l’Ufvn, M. Cyriaque Gonda, porte-parole du Président de la République, lui a demandé de se ressaisir pour que le dialogue politique inclusif en cours de préparation puisse se tenir dans l’intérêt du peuple centrafricain.
« Nous sommes tous condamnés à nous entendre pour mettre fin aux souffrances du peuple centrafricain et que ce dialogue se tiendra dans des bonnes conditions avec la participation de tous », a notamment déclaré M. Gonda dans un communiqué de presse.
Selon M. Gonda, l’opposition politique démocratique, qui a demandé le dialogue politique inclusif, devra s’armer de beaucoup de patience, de froideur d’analyse, de sagesse et, surtout, de patriotisme.
Quant au porte-parole du gouvernement, M. Aurélien Simplice Zingas, il a justifié la tenue à Bangui de ce dialogue par l’impossibilité pour l’Etat, en butte à d’énormes difficultés financières, d’organiser à l’extérieur ce forum auquel devraient participer quelque 400 personnes.
M. Zingas a également évoqué la nécessité pour la population centrafricaine de suivre le déroulement des travaux de ce dialogue.
Il a, par ailleurs, rappelé que l’ancien président André Kolingba avait bien fait le déplacement de Bangui, en octobre 2003 pour prendre part aux travaux du Dialogue Nationale et que l’ancien chef rebelle Abdoulaye Miskine avait séjourné sans encombres à Bangui, en février 2007, avant de quitter le pays.
Cette controverse autour du prochain dialogue politique inclusif intervient au lendemain d’une réunion tenue par le Président de la République avec les partis politiques et la société civile, et au terme de laquelle il a annoncé que le comité préparatoire de ce dialogue serait composé de 23 personnalités issues d’horizons divers.