Organisé par le ministère de l’Environnement et de l’Ecologie en partenariat avec le Programme des Nations-Unies pour le Développement(PNUD), cette randonnée commémore la Journée Mondiale de l’Environnement vise à sensibiliser l’opinion nationale sur les questions environnementales et les concepts de l’économie verte ainsi que le changement de comportement.
Pour le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, François Noueyama, cette marche dénote l’engagement de chaque centrafricain à préserver l’économie verte. Ce petit geste bout à bout contribue à préserver l’environnement ».
Le membre du gouvernement a défini le concept de l’économie verte comme une amélioration du bien être et de l’équité sociale, tout en réduisant considérablement les risques de pénuries écologiques et plus c’est une économie possédant les faibles émissions de CO2.
Selon François Noueyama , une économie verte doit entrainer une croissance. Du revenu et de l’emploi grâce à des investissements publics et privés qui cible une réduction des émissions de carbone et de la pollution, une amélioration de l’efficacité énergétiques et de la gestion des ressources naturelles, une réduction de la perte de la biodiversité.
La représentante des Programmes des Nations Unies pour le développement (Pnud), Mme Aline Malibanga a édifiés les participants sur la bonne gestion de ces six secteurs devant favoriser une planète verte entre autres les bâtiments, la pêche, la forêt, les transports, l’agriculture, le traitement de déchets et l’énergie.
Pour le ministre de l’Environnement et de l’Ecologie, François Noueyama, cette marche dénote l’engagement de chaque centrafricain à préserver l’économie verte. Ce petit geste bout à bout contribue à préserver l’environnement ».
Le membre du gouvernement a défini le concept de l’économie verte comme une amélioration du bien être et de l’équité sociale, tout en réduisant considérablement les risques de pénuries écologiques et plus c’est une économie possédant les faibles émissions de CO2.
Selon François Noueyama , une économie verte doit entrainer une croissance. Du revenu et de l’emploi grâce à des investissements publics et privés qui cible une réduction des émissions de carbone et de la pollution, une amélioration de l’efficacité énergétiques et de la gestion des ressources naturelles, une réduction de la perte de la biodiversité.
La représentante des Programmes des Nations Unies pour le développement (Pnud), Mme Aline Malibanga a édifiés les participants sur la bonne gestion de ces six secteurs devant favoriser une planète verte entre autres les bâtiments, la pêche, la forêt, les transports, l’agriculture, le traitement de déchets et l’énergie.