Agé de 55 ans, Monseigneur Pomodimo a démissionné de ses fonctions d’archevêque de Bangui en mai 2008, après 6 années d’exercice, provoquant une controverse au sein du clergé centrafricain.
Le nouveau Médiateur de la République a également siégé au Conseil National de Transition (CNT, parlement provisoire) mis en place après l’accession au pouvoir du général François Bozizé, après avoir occupé les fonctions de coordonnateur du comité préparatoire du Dialogue National mis en place, fin 2002, par Ange Félix Patassé, alors président de la République.
Sa nomination intervient au moment où les préparatifs des élections présidentielles et législatives de mars 2010 entrent dans une phase active avec la mise en place, ce 26 août, de la Commission électorale indépendante (CEI) chargée d’organiser les scrutins.
Il faut rappeler que le Conseil National de la Médiation est un organe créé par la Constitution du 27 décembre 2004 et disposant « de pouvoirs étendus pour recevoir des réclamations des citoyens et proposer des réformes en vue de la mise en place d’un mécanisme efficace de prévention de gestion et de résolution des conflits, de tous ordres, entre autres, politiques, économiques, sociaux, militaires, de garantie de la démocratie de proximité et d’accès des faibles en droit ».
Le nouveau Médiateur de la République a également siégé au Conseil National de Transition (CNT, parlement provisoire) mis en place après l’accession au pouvoir du général François Bozizé, après avoir occupé les fonctions de coordonnateur du comité préparatoire du Dialogue National mis en place, fin 2002, par Ange Félix Patassé, alors président de la République.
Sa nomination intervient au moment où les préparatifs des élections présidentielles et législatives de mars 2010 entrent dans une phase active avec la mise en place, ce 26 août, de la Commission électorale indépendante (CEI) chargée d’organiser les scrutins.
Il faut rappeler que le Conseil National de la Médiation est un organe créé par la Constitution du 27 décembre 2004 et disposant « de pouvoirs étendus pour recevoir des réclamations des citoyens et proposer des réformes en vue de la mise en place d’un mécanisme efficace de prévention de gestion et de résolution des conflits, de tous ordres, entre autres, politiques, économiques, sociaux, militaires, de garantie de la démocratie de proximité et d’accès des faibles en droit ».