Dans son discours d’ouverture, le ministre d’Etat a rappelé le contexte de la création de cette plate-forme qui a pour but de contribuer à une gestion rationnelle des ressources naturelles du sous-sol.
« Le but de l’ITIE est d’assurer la transparence des paiements et des revenus générés par les industries extractives, de rendre cette information accessible à la société civile et au grand public et enfin favoriser la bonne gestion de cette richesse afin qu’elle soit un moteur de la réduction de la pauvreté », a indiqué Sylvain Ndoutingaï.
Pour lui, le document soumis à l’examen des participant au cours de cette première session, va permettre de faire la lumière sur les différents paiements effectués par les sociétés minières, les bureaux d’achat, les collecteurs, les artisans miniers et autres acteurs au profit de l’Etat et la gestion de ces revenus par ce dernier.
Selon lui, le rapport qui découlera de cette rencontre « permettra aux Centrafricains de connaître la vérité sur la gestion des revenus générés par les ressources minières de la République Centrafricaine » en vue d’établir le niveau de responsabilité de chacun des acteurs dudit secteur ».
Car « en adhérant à l’ITIE, le gouvernement entend doter le pays d’instruments dont le développement et la pérennisation contribueront à la restauration et à la consolidation du climat de confiance avec nos compatriotes et partenaires financiers », a-t-il expliqué.
« Ceux-ci nourrissent les attentes légitimes de voir les recettes générées par le diamant, l’or, l’uranium contribuer de manière efficiente au renforcement de la croissance économique, à la création d’emploi et à la réduction de pauvreté », a conclu le ministre d’Etat Sylvain Ndoutingai.
Il convient de signaler que cette session d’une journée regroupe une trentaine de personnes venues de différents départements impliqués dans l’exploitation des mines en Centrafrique.
« Le but de l’ITIE est d’assurer la transparence des paiements et des revenus générés par les industries extractives, de rendre cette information accessible à la société civile et au grand public et enfin favoriser la bonne gestion de cette richesse afin qu’elle soit un moteur de la réduction de la pauvreté », a indiqué Sylvain Ndoutingaï.
Pour lui, le document soumis à l’examen des participant au cours de cette première session, va permettre de faire la lumière sur les différents paiements effectués par les sociétés minières, les bureaux d’achat, les collecteurs, les artisans miniers et autres acteurs au profit de l’Etat et la gestion de ces revenus par ce dernier.
Selon lui, le rapport qui découlera de cette rencontre « permettra aux Centrafricains de connaître la vérité sur la gestion des revenus générés par les ressources minières de la République Centrafricaine » en vue d’établir le niveau de responsabilité de chacun des acteurs dudit secteur ».
Car « en adhérant à l’ITIE, le gouvernement entend doter le pays d’instruments dont le développement et la pérennisation contribueront à la restauration et à la consolidation du climat de confiance avec nos compatriotes et partenaires financiers », a-t-il expliqué.
« Ceux-ci nourrissent les attentes légitimes de voir les recettes générées par le diamant, l’or, l’uranium contribuer de manière efficiente au renforcement de la croissance économique, à la création d’emploi et à la réduction de pauvreté », a conclu le ministre d’Etat Sylvain Ndoutingai.
Il convient de signaler que cette session d’une journée regroupe une trentaine de personnes venues de différents départements impliqués dans l’exploitation des mines en Centrafrique.