POLITIQUE
« Avec le retour de la paix suite aux multiples crises militaro-politiques qui ont rétréci le tissu commercial et industriel de notre pays, et réduit l’assiette fiscale, il est urgent de parachever le processus de stabilisation de l’économie nationale par la promotion du secteur privé », a déclaré M. Robert Ngoki à l'ouverture des travaux.
Selon lui, il est urgent de créer une synergie entre l’Etat , les opérateurs économiques représentés par la CCIMA et les partenaires au développement, pour la réussite de la mise en œuvre du plan d’action de la chambre consulaire, dans la perspective de la redynamisation du secteur privé en République Centrafricaine.
Il a par ailleurs interpellé le gouvernement sur la question des dettes intérieures "dont l’apurement ou l’application du principe de compensation, contribuera à relancer les activités de la plupart entreprises en mal de financement, ou d’honorer leurs engagements vis-à-vis des services fiscaux, créanciers et fournisseurs".
M. Robert Ngoki a également souhaité que l'Etat reconduise le paiement "des centimes additionnels et des quote-parts fiscales" à la CCIMA, pour faciliter son fonctionnement.
Il a enfin sollicité du gouvernement une "solution politique" sur les contentieux opposant la CCIMA à l’Agence de sécurité de navigation aérienne (ASECNA), à propos du contrat relatif à la gestion des entrepôts de l’ aéroport de Bangui M’Poko.
Le ministre du Commerce et de l'industrie, Mme Emilie Béatrice Epaye, a pour sa part souligné l'importance qu'accorde le gouvernement à l'émancipation du secteur privé et la redynamisation de la Chambre de commerce.
« Pour manifester son engagement, le gouvernement a décaissé 16 millions Fcfa afin de renforcer l’appui financier de la société financière internationale (SFI), d’un montant total de 200 mille dollar » en faveur de la CCIMA, a-t-elle fait remarquer.
Il convient de rappeler que le nouveau bureau de la Chambre de commerce, de l’industrie, des mines et de l’artisanat a été installé le 17 avril 2009 par le Président de la République, François Bozizé.
Selon lui, il est urgent de créer une synergie entre l’Etat , les opérateurs économiques représentés par la CCIMA et les partenaires au développement, pour la réussite de la mise en œuvre du plan d’action de la chambre consulaire, dans la perspective de la redynamisation du secteur privé en République Centrafricaine.
Il a par ailleurs interpellé le gouvernement sur la question des dettes intérieures "dont l’apurement ou l’application du principe de compensation, contribuera à relancer les activités de la plupart entreprises en mal de financement, ou d’honorer leurs engagements vis-à-vis des services fiscaux, créanciers et fournisseurs".
M. Robert Ngoki a également souhaité que l'Etat reconduise le paiement "des centimes additionnels et des quote-parts fiscales" à la CCIMA, pour faciliter son fonctionnement.
Il a enfin sollicité du gouvernement une "solution politique" sur les contentieux opposant la CCIMA à l’Agence de sécurité de navigation aérienne (ASECNA), à propos du contrat relatif à la gestion des entrepôts de l’ aéroport de Bangui M’Poko.
Le ministre du Commerce et de l'industrie, Mme Emilie Béatrice Epaye, a pour sa part souligné l'importance qu'accorde le gouvernement à l'émancipation du secteur privé et la redynamisation de la Chambre de commerce.
« Pour manifester son engagement, le gouvernement a décaissé 16 millions Fcfa afin de renforcer l’appui financier de la société financière internationale (SFI), d’un montant total de 200 mille dollar » en faveur de la CCIMA, a-t-elle fait remarquer.
Il convient de rappeler que le nouveau bureau de la Chambre de commerce, de l’industrie, des mines et de l’artisanat a été installé le 17 avril 2009 par le Président de la République, François Bozizé.
