Selon Mme Pagonéndji Ndakala, qui a ouvert la réunion en présence du représentant du Secrétaire général de l’Organisation mondiale du tourisme (OMT), M. Ousman Ndiaye, et de celui du président de la Commission de la CEMAC, M. Pierre Yété, il s’agit, au cours de cette rencontre « d’identifier les actions prioritaires pertinentes » devant contribuer au développement et à la promotion du tourisme en Afrique Centrale.
« Il existe d’énormes besoins d’harmonisation d’une véritable politique de développement et de promotion du tourisme en zone CEMAC, pour que le tourisme soit un facteur d’intégration économique et culturelle de la sous-région Afrique Centrale. Car il a une capacité incomparable d’induire des emplois, des recettes publiques et d’autres retombées économiques directes ou indirectes », a fait remarquer Mme Pagonéndji Ndakala.
Elle a indiqué que la réunion de Bangui va permettre aux experts et aux ministres en charge du tourisme de proposer des stratégies de développement de ce secteur. « Ces propositions seront soumises à la Conférence des Chefs d’Etat qui se déroulera à Bangui dans les prochains jours », a-t-il annoncé.
En effet, la réunion vise aussi à évaluer les actions recommandées dans le cadre du développement et de la promotion du tourisme en zone CEMAC de 2001 à 2008, analyser les stratégies de développement touristique des aires protégées transfrontalières en zone CEMAC.
Il sera également question de « réharmoniser les normes de classification des hôtels de l’Union douanière et économique de l’Afrique Centrale (UDEAC), d’institutionnaliser la réunion des ministres du tourisme de la CEMAC et d’insérer les préoccupations du secteur du tourisme dans les programmes de développement économique de la CEMAC et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).
« C’est ici l’occasion qui nous permettrait aussi de rattraper le retard, par la mise en place d’un dispositif institutionnel de la réunion des ministres du tourisme qui démontrera sa ferme détermination à saisir sa chance dans le processus touristique mondial engagé, afin de booster véritablement et durablement le développement et la promotion du tourisme en zone CEMAC », a-t-elle conclu.
La réunion devrait permettre d’identifier les forces et les faiblesses liées au développement du tourisme dans la sous-région et proposer de nouvelles stratégies de promotion du secteur touristique.
Prévue pour le 20 novembre prochain, la réunion des ministres est précédée de celle des experts des Etats membres de la CEMAC, à savoir le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad, du 18 au 19 novembre au Palais de l’Assemblée nationale.
« Il existe d’énormes besoins d’harmonisation d’une véritable politique de développement et de promotion du tourisme en zone CEMAC, pour que le tourisme soit un facteur d’intégration économique et culturelle de la sous-région Afrique Centrale. Car il a une capacité incomparable d’induire des emplois, des recettes publiques et d’autres retombées économiques directes ou indirectes », a fait remarquer Mme Pagonéndji Ndakala.
Elle a indiqué que la réunion de Bangui va permettre aux experts et aux ministres en charge du tourisme de proposer des stratégies de développement de ce secteur. « Ces propositions seront soumises à la Conférence des Chefs d’Etat qui se déroulera à Bangui dans les prochains jours », a-t-il annoncé.
En effet, la réunion vise aussi à évaluer les actions recommandées dans le cadre du développement et de la promotion du tourisme en zone CEMAC de 2001 à 2008, analyser les stratégies de développement touristique des aires protégées transfrontalières en zone CEMAC.
Il sera également question de « réharmoniser les normes de classification des hôtels de l’Union douanière et économique de l’Afrique Centrale (UDEAC), d’institutionnaliser la réunion des ministres du tourisme de la CEMAC et d’insérer les préoccupations du secteur du tourisme dans les programmes de développement économique de la CEMAC et de la Communauté économique des Etats de l’Afrique Centrale (CEEAC).
« C’est ici l’occasion qui nous permettrait aussi de rattraper le retard, par la mise en place d’un dispositif institutionnel de la réunion des ministres du tourisme qui démontrera sa ferme détermination à saisir sa chance dans le processus touristique mondial engagé, afin de booster véritablement et durablement le développement et la promotion du tourisme en zone CEMAC », a-t-elle conclu.
La réunion devrait permettre d’identifier les forces et les faiblesses liées au développement du tourisme dans la sous-région et proposer de nouvelles stratégies de promotion du secteur touristique.
Prévue pour le 20 novembre prochain, la réunion des ministres est précédée de celle des experts des Etats membres de la CEMAC, à savoir le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad, du 18 au 19 novembre au Palais de l’Assemblée nationale.