Selon l’oraison funèbre lue par le secrétaire général de l’université de Bangui, M. Simplice Sarandji, Max Wallot est né le 26 mai 1958 à Bangui. Après son baccalauréat du second degré à Bangui, il aborde ses études supérieures en France où il obtient successivement le Diplôme de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) en 1994 et le Diplôme d’Etudes approfondies (DEA) d’Histoire et Civilisation en 1995.
En fonction de ces références, il est immédiatement recruté comme chercheur affilié de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) de Paris.
C’est en 1996 qu’il est rentré au pays où il a enseigné jusqu’à sa mort comme Assistant au département d’Histoire de la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH) de l’université de Bangui.
Depuis 2000 jusqu’à sa mort, il a travaillé comme Directeur général de l’enseignement supérieur et de la recherche au ministère de l’Education nationale. C’est à Max Wallot que l’université de Bangui doit l’adoption du système LMD (Licence, Master Doctorat) depuis deux ans.
Max Wallot s’est éteint le 28 novembre à Marseille en France où il a été évacué pour des raisons de santé. Il laisse derrière lui une veuve et cinq enfants dont trois garçons et deux filles.
En fonction de ces références, il est immédiatement recruté comme chercheur affilié de l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS) de Paris.
C’est en 1996 qu’il est rentré au pays où il a enseigné jusqu’à sa mort comme Assistant au département d’Histoire de la Faculté des lettres et sciences humaines (FLSH) de l’université de Bangui.
Depuis 2000 jusqu’à sa mort, il a travaillé comme Directeur général de l’enseignement supérieur et de la recherche au ministère de l’Education nationale. C’est à Max Wallot que l’université de Bangui doit l’adoption du système LMD (Licence, Master Doctorat) depuis deux ans.
Max Wallot s’est éteint le 28 novembre à Marseille en France où il a été évacué pour des raisons de santé. Il laisse derrière lui une veuve et cinq enfants dont trois garçons et deux filles.