Au cours d’une conférence de presse mercredi 4 avril 2007 à Bangui, M. Gbossokotto M. a affirmé que le président du Geppic, condamné lundi par le tribunal correctionnel de Bangui, n’a fait que rendre compte d’une décision prise en assemblée générale par une association.
Il a également déclaré que l’arrestation d’un journaliste au moment où le délit de presse est dépénalisé en Centrafrique est un grand regret.
Interrogé sur la position de l’Ujca, M. Gbossokotto a répondu que seule l’assemblée générale de l’Ujca prévue pour le 14 avril prochain déterminera les actions à engager.
Rappelons que Michel Alkhaly Ngady, Directeur du Quotidien ‘’Temps Nouveaux’’ a été arrêté le 12 mars dernier sur plainte du Président du Haut Conseil de la Communication (Hcc), M. Pierre Sammy Mackfoy.
Dans un communiqué de presse, début mars, il avait déclaré « nulle et de nul effet » une décision du Hcc suspendant pour un mois la parution de l’hebdomadaire « Le Centrafriqu’Un » suite à la publication d’un article intitulé « Les Tchadiens se vantent de tuer impunément ».
Lors de son procès, le 26 mars dernier, le procureur de la République avait requis deux (2) ans de prison ferme, une amende de 500 000 francs F CFA et la confiscation des droits civiques à l’encontre du président du Geppic poursuivi pour résistance et désobéissance envers les autorités, non respect des lois et entrave au fonctionnement des institutions.
On indique de bonne source que la première conséquence de la condamnation du journaliste sera le report des Etats Généraux des médias centrafricains initialement prévus pour se tenir fin avril.
Il a également déclaré que l’arrestation d’un journaliste au moment où le délit de presse est dépénalisé en Centrafrique est un grand regret.
Interrogé sur la position de l’Ujca, M. Gbossokotto a répondu que seule l’assemblée générale de l’Ujca prévue pour le 14 avril prochain déterminera les actions à engager.
Rappelons que Michel Alkhaly Ngady, Directeur du Quotidien ‘’Temps Nouveaux’’ a été arrêté le 12 mars dernier sur plainte du Président du Haut Conseil de la Communication (Hcc), M. Pierre Sammy Mackfoy.
Dans un communiqué de presse, début mars, il avait déclaré « nulle et de nul effet » une décision du Hcc suspendant pour un mois la parution de l’hebdomadaire « Le Centrafriqu’Un » suite à la publication d’un article intitulé « Les Tchadiens se vantent de tuer impunément ».
Lors de son procès, le 26 mars dernier, le procureur de la République avait requis deux (2) ans de prison ferme, une amende de 500 000 francs F CFA et la confiscation des droits civiques à l’encontre du président du Geppic poursuivi pour résistance et désobéissance envers les autorités, non respect des lois et entrave au fonctionnement des institutions.
On indique de bonne source que la première conséquence de la condamnation du journaliste sera le report des Etats Généraux des médias centrafricains initialement prévus pour se tenir fin avril.