S'exprimant au cours d’un point de presse, au lendemain d'une tournée dans le Nord et l'Ouest du pays, le chef du MLPC a mis en cause le ministre de l'Administration du Territoire, Elie Ouéïfio de verrouiller le processus dans tout l’arrière pays, loin des regard indiscrets des partis politiques installés à Bangui et de la Communauté internationale.
« le ministre en charge de l’Administration du territoire profite de l’installation des nouveaux préfets et sous-préfets pour mettre en place des structures du KNK [groupement politique soutenant le président Bozizé], et impose aux maires et chefs de village et de Groupe, de démissionner de leurs partis respectifs pour diriger les structures locales de KNK", a-t-il affirmé.
"le ministre en charge de l’administration du territoire a fait remettre aux maires, chefs de village et chefs de groupe des localités et de ces régions, des cahiers avec les consignes de procéder au recensement électoral dans la discrétion la plus totale, donc sans publication de ces listes pour les corrections prévues par la loi », a également relevé Martin Ziguélé pour qui « Cette situation est porteuse de germe pouvant vicier le processus électoral volontairement manipulé pour assurer d’avance la victoire du Président Bozizé en 2010 ».
« Le Mouvement du Peuple Centrafricain attire l’attention des Centrafricaines et Centrafricains, des partis politiques, de toutes les forces vives de la nation, de toutes les forces de progrès et de la communauté internationale qu’il y a véritablement péril en demeure », a-t-il souligné, expliquant que tout cela pourrait "vider la Commission Électorale Indépendante à venir de ses prérogatives et lui imposer des fausses données électorales pour légitimer des faux résultats ».
Il a enfin posé que « l’équité dans le traitement des candidats, la transparence et le sérieux dans le déroulement de tout le processus électoral, le recensement de tous les Centrafricains en âge de voter, le retour des déplacés et des exilés et leur recensement, la libre expression des électeurs constituent les conditions minimales pouvant conférer aux consultations générales de 2010 leur crédibilité ».
Candidat malheureux au second tour de l'élection présidentielle de mai 2005, Martin Ziguélé, Premier ministre (2001 - 2003) sous la présidence du président déchu Ange Félix Patassé, avait obtenu 34% des voix contre 66 à l'actuel président de la République, François Bozizé.
« le ministre en charge de l’Administration du territoire profite de l’installation des nouveaux préfets et sous-préfets pour mettre en place des structures du KNK [groupement politique soutenant le président Bozizé], et impose aux maires et chefs de village et de Groupe, de démissionner de leurs partis respectifs pour diriger les structures locales de KNK", a-t-il affirmé.
"le ministre en charge de l’administration du territoire a fait remettre aux maires, chefs de village et chefs de groupe des localités et de ces régions, des cahiers avec les consignes de procéder au recensement électoral dans la discrétion la plus totale, donc sans publication de ces listes pour les corrections prévues par la loi », a également relevé Martin Ziguélé pour qui « Cette situation est porteuse de germe pouvant vicier le processus électoral volontairement manipulé pour assurer d’avance la victoire du Président Bozizé en 2010 ».
« Le Mouvement du Peuple Centrafricain attire l’attention des Centrafricaines et Centrafricains, des partis politiques, de toutes les forces vives de la nation, de toutes les forces de progrès et de la communauté internationale qu’il y a véritablement péril en demeure », a-t-il souligné, expliquant que tout cela pourrait "vider la Commission Électorale Indépendante à venir de ses prérogatives et lui imposer des fausses données électorales pour légitimer des faux résultats ».
Il a enfin posé que « l’équité dans le traitement des candidats, la transparence et le sérieux dans le déroulement de tout le processus électoral, le recensement de tous les Centrafricains en âge de voter, le retour des déplacés et des exilés et leur recensement, la libre expression des électeurs constituent les conditions minimales pouvant conférer aux consultations générales de 2010 leur crédibilité ».
Candidat malheureux au second tour de l'élection présidentielle de mai 2005, Martin Ziguélé, Premier ministre (2001 - 2003) sous la présidence du président déchu Ange Félix Patassé, avait obtenu 34% des voix contre 66 à l'actuel président de la République, François Bozizé.