POLITIQUE
Lors de cette rencontre, M. Moïdokona a indiqué que plusieurs étapes ont été franchies dans la mise en œuvre de l’ITIE en République centrafricaine. Il a cité entre autres l’élaboration et la publication du premier rapport ITIE le 23 mars 2009 qui parle de la collecte et mle traitement des données statistiques du secteurs minier au titre de l’année 2006.
Selon lui, le secrétariat technique envisage de procéder à la dissémination des principes de l’ITIE dans le pays, d'où la mise en place des comités préfectoraux grace à un appui de l’ambassade de France. Il s'agit des comités préfectoraux de la Nana Mambéré, de la Mambéré-Kadei, de la Ouaka et du Mbomou, pour poursuivre les activités à l'intérieur du pays.
« Ces Comités préfectoraux constituent des instruments qui favoriseront et encourageront le partage d’informations entre le Conseil national via le secrétariat technique, le gouvernement , les opérateurs du secteur minier et la population toute entière », a fait remarquer M. Moïdokana..
Abordant la question de la fermeture des bureaux d’achats de diamants ces derniers temps, M . M.oïdokana a signifié que ces bureaux d’achats n’ont pas respecté les législations nationales qui les obligent à réaliser des investissements immobiliers d’une valeur d’au moins deux cent cinquante millions francs(250.000.000) après trois ans.
« Les ressources minières sont des produits épuisables , c’est pourquoi l’ITIE veut contrôler les recettes générées par le secteur minier », a-t-il expliqué avant d’ajouter que les sociétés d’exploitation minier AREVA et AURAFRIQUE sont dans le champs d’action de l’ITIE et vont par conséquent être prises en compte dans le deuxième rapport.
En effet, l’ITIE est un mécanisme qui vise à encourager les personnes oeuvrant dans les ressources extratives à être transparentes dans la gestion des recettes des diverses exploitations.
Il convient de signaler que l’idée de la création de l’ITIE a été émise lors du sommet sur le développement durable tenu à Johannesbourg en Afrique du Sud en septembre 2002.
Selon lui, le secrétariat technique envisage de procéder à la dissémination des principes de l’ITIE dans le pays, d'où la mise en place des comités préfectoraux grace à un appui de l’ambassade de France. Il s'agit des comités préfectoraux de la Nana Mambéré, de la Mambéré-Kadei, de la Ouaka et du Mbomou, pour poursuivre les activités à l'intérieur du pays.
« Ces Comités préfectoraux constituent des instruments qui favoriseront et encourageront le partage d’informations entre le Conseil national via le secrétariat technique, le gouvernement , les opérateurs du secteur minier et la population toute entière », a fait remarquer M. Moïdokana..
Abordant la question de la fermeture des bureaux d’achats de diamants ces derniers temps, M . M.oïdokana a signifié que ces bureaux d’achats n’ont pas respecté les législations nationales qui les obligent à réaliser des investissements immobiliers d’une valeur d’au moins deux cent cinquante millions francs(250.000.000) après trois ans.
« Les ressources minières sont des produits épuisables , c’est pourquoi l’ITIE veut contrôler les recettes générées par le secteur minier », a-t-il expliqué avant d’ajouter que les sociétés d’exploitation minier AREVA et AURAFRIQUE sont dans le champs d’action de l’ITIE et vont par conséquent être prises en compte dans le deuxième rapport.
En effet, l’ITIE est un mécanisme qui vise à encourager les personnes oeuvrant dans les ressources extratives à être transparentes dans la gestion des recettes des diverses exploitations.
Il convient de signaler que l’idée de la création de l’ITIE a été émise lors du sommet sur le développement durable tenu à Johannesbourg en Afrique du Sud en septembre 2002.
