Les ressources du budget consacrées à l’année 2012 s’élèvent à 217 milliards de francs CFA, les dépenses sont de l’ordre de 239 milliards de francs CFA soit un déficit de 22 milliards de francs CFA.
L’exercice ayant abouti à l’amendement et à l’adoption du budget prévisionnel pour l’année 2012 par l’Assemblée nationale s’inscrit dans les dispositions constitutionnelles exigeant de l’Assemblée nationale un contrôle sur l’action gouvernementale.
Le Ministre d’Etat chargé des Finances et du Budget a parlé « d’un budget réaliste, axé exclusivement sur des ressources nationales provenant des taxes et impôts ». Dans le langage politique, Sylvain Ndoutingaï a soutenu que « le gouvernement ne veut pas mentir, ni au peuple, ni aux partenaires, par l’élaboration d’un budget aux chiffres faramineux dont il sera difficile de trouver les ressources pour son exécution ».
Il s’est ensuite appesanti sur la déclaration du Président de la République à l’occasion des états généraux des Finances et du budget qui disait « nous ne produisons rien, nous n’exportons rien » pour exhorter les Centrafricains au travail.
Pour rappel, les grandes particularités du budget 2012 concernent l’ajustement à la hausse du prix des hydrocarbures ; la prise en compte de 1.500 forces de défense ; le déblocage des salaires des fonctionnaires sur la période de 2004 à 2007 et l’application de la nouvelle grille salariale des enseignants du supérieur ;
L’une des caractéristiques de la mise en œuvre de ce budget est la recherche des ressources extérieures qui constitue la priorité de l’action gouvernementale en vue d’améliorer les ressources et bâtir un budget conséquent pour la relance économique.
L’exercice ayant abouti à l’amendement et à l’adoption du budget prévisionnel pour l’année 2012 par l’Assemblée nationale s’inscrit dans les dispositions constitutionnelles exigeant de l’Assemblée nationale un contrôle sur l’action gouvernementale.
Le Ministre d’Etat chargé des Finances et du Budget a parlé « d’un budget réaliste, axé exclusivement sur des ressources nationales provenant des taxes et impôts ». Dans le langage politique, Sylvain Ndoutingaï a soutenu que « le gouvernement ne veut pas mentir, ni au peuple, ni aux partenaires, par l’élaboration d’un budget aux chiffres faramineux dont il sera difficile de trouver les ressources pour son exécution ».
Il s’est ensuite appesanti sur la déclaration du Président de la République à l’occasion des états généraux des Finances et du budget qui disait « nous ne produisons rien, nous n’exportons rien » pour exhorter les Centrafricains au travail.
Pour rappel, les grandes particularités du budget 2012 concernent l’ajustement à la hausse du prix des hydrocarbures ; la prise en compte de 1.500 forces de défense ; le déblocage des salaires des fonctionnaires sur la période de 2004 à 2007 et l’application de la nouvelle grille salariale des enseignants du supérieur ;
L’une des caractéristiques de la mise en œuvre de ce budget est la recherche des ressources extérieures qui constitue la priorité de l’action gouvernementale en vue d’améliorer les ressources et bâtir un budget conséquent pour la relance économique.