Pour marquer cette célébration, les quelque deux cents anciens combattants présents ont chanté les hymnes nationaux français et centrafricains avant de partager un repas offert par l'Ambassade de France.
Le président de la mutuelle des anciens combattants centrafricains, M. Martin Téméraire Sabanglé a saisi l'occasion de cette cérémonie pour déploré les conditions misérables dans lesquelles ceux-ci ainsi que les veuves et les orphelins d'anciens combattants.
« Les anciens combattants meurent comme des mouches, il n'y a pas d’infirmerie pour eux, pas d’assistance ni reconnaissance », s'est-il plaint, regrettant que « dans d’autres pays, la France recrute des jeunes dans l’armée française en guise de reconnaissance, mais en République centrafricaine non ».
Il a en conséquence réclamé non seulement la revalorisation des pensions des anciens combattants, mais également le recrutement de jeunes centrafricains dans l’armée française.
En réponse à M. Sabanglé, l'Ambassadeur de France a prôné le dialogue entre les anciens combattants et l’Ambassade de France afin qu’une solution soit trouvée aux problèmes des anciens combattants, veuves et orphelins.
M. Jean Pierre Vidon a demandé à ces derniers de constituer des dossiers dans la transparence afin d’éviter des frustrations et des mécontentements car, a-t-il précisé, le service des pensions obéït à des règles et normes administratives que personne ne peut transformer.
M. Vidon faisait allusion aux cas de certains ayant-droit qui affirment être victimes d'escrocs ayant falsifié des documents pour percevoir des pensions, au détriment des bénéficiaires dont les oppositions et appels adressés à l’Ambassade de France seraient restés sans suite.
Il convient de noter que seuls deux suvivants de la première guerre mondiale ont pris part à la cérémonie commémorant la signature de l’armistice du 11 novembre 1918, qui avait mis fin à cette guerre.
Le président de la mutuelle des anciens combattants centrafricains, M. Martin Téméraire Sabanglé a saisi l'occasion de cette cérémonie pour déploré les conditions misérables dans lesquelles ceux-ci ainsi que les veuves et les orphelins d'anciens combattants.
« Les anciens combattants meurent comme des mouches, il n'y a pas d’infirmerie pour eux, pas d’assistance ni reconnaissance », s'est-il plaint, regrettant que « dans d’autres pays, la France recrute des jeunes dans l’armée française en guise de reconnaissance, mais en République centrafricaine non ».
Il a en conséquence réclamé non seulement la revalorisation des pensions des anciens combattants, mais également le recrutement de jeunes centrafricains dans l’armée française.
En réponse à M. Sabanglé, l'Ambassadeur de France a prôné le dialogue entre les anciens combattants et l’Ambassade de France afin qu’une solution soit trouvée aux problèmes des anciens combattants, veuves et orphelins.
M. Jean Pierre Vidon a demandé à ces derniers de constituer des dossiers dans la transparence afin d’éviter des frustrations et des mécontentements car, a-t-il précisé, le service des pensions obéït à des règles et normes administratives que personne ne peut transformer.
M. Vidon faisait allusion aux cas de certains ayant-droit qui affirment être victimes d'escrocs ayant falsifié des documents pour percevoir des pensions, au détriment des bénéficiaires dont les oppositions et appels adressés à l’Ambassade de France seraient restés sans suite.
Il convient de noter que seuls deux suvivants de la première guerre mondiale ont pris part à la cérémonie commémorant la signature de l’armistice du 11 novembre 1918, qui avait mis fin à cette guerre.