Les participants à ce colloque, des enseignants du supérieur pour la plupart, ont également recommandé que les chefs traditionnels participent dorénavant au processus de règlement des conflits et la promotion des valeurs culturelles traditionnelles, en vue de la consolidation de la paix en Centrafrique.
« Ce colloque s’inscrit dans la logique participative du gouvernement qui a voulu faire appel à votre expertise universitaire pour l’aider à faire évoluer les mentalités et renforcer le capital social », a indiqué le ministre d’Etat Cyriaque Gonda.
Selon lui, « la culture réconciliatrice est à considérer non seulement comme l’eau dont le pompier a besoin pour éteindre le feu, mais aussi comme l’aliment quotidien dont nous ne pouvons nous passer ; parce qu’elle nous régénère et fortifie ».
Organisé par l'Université de Bangui en partenariat avec l'UNESCO, ce colloque qui a duré trois jours a permis aux participants d'échanger sur des thèmes tels que "les actes générateurs de conflits dans la société centrafricaine précoloniale ; les préjugés sociaux comme sources de conflits dans la société traditionnelle et les formes anciennes et actuelles d’alliances et d’échanges intercommunautaires comme facteurs de paix et de coexistence pacifique".
Environ 200 personnes ont pris part à ce colloque qui avait pour but de mettre à contribution les compétences universitaires dans le domaine de la culture traditionnelle, à la construction de la cohésion sociale en République Centrafricaine.
« Ce colloque s’inscrit dans la logique participative du gouvernement qui a voulu faire appel à votre expertise universitaire pour l’aider à faire évoluer les mentalités et renforcer le capital social », a indiqué le ministre d’Etat Cyriaque Gonda.
Selon lui, « la culture réconciliatrice est à considérer non seulement comme l’eau dont le pompier a besoin pour éteindre le feu, mais aussi comme l’aliment quotidien dont nous ne pouvons nous passer ; parce qu’elle nous régénère et fortifie ».
Organisé par l'Université de Bangui en partenariat avec l'UNESCO, ce colloque qui a duré trois jours a permis aux participants d'échanger sur des thèmes tels que "les actes générateurs de conflits dans la société centrafricaine précoloniale ; les préjugés sociaux comme sources de conflits dans la société traditionnelle et les formes anciennes et actuelles d’alliances et d’échanges intercommunautaires comme facteurs de paix et de coexistence pacifique".
Environ 200 personnes ont pris part à ce colloque qui avait pour but de mettre à contribution les compétences universitaires dans le domaine de la culture traditionnelle, à la construction de la cohésion sociale en République Centrafricaine.