Pour M. Auguste Boukanga, ce report premettrait à la Commission Electorale Indépendante (CEI) "de consacrer toute son énergie à la bonne gestion de sa mission afin que ces élections soient organisées dans la transparence".
Il a ajouté que cette proposition devrait permettre la mise en oeuvre du programme de Démobilisation, désarmement et Réinsertion des ex-combattants (DDR), condition sine qua non pour le retour de la paix et de la sécurité sur toute l’étendue du territoire national.
M. Boukanga a demandé la démission du gouvernement Touadéra et la formation d’un gouvernement de large consensus conformément à la recommandation du Dialogue Politique Inclusif dont les principales sont notamment travailler à la réconciliation véritable et définitive entre les Centrafricains, prendre les mesures nécessaires au renforcement de la démocratie et favoriser le développement économique et social.
Il a également souhaité la mise en place d’un Conseil National Politique Provisoire dirigé par le Président François Bozizé et devant regrouper en son sein tous les candidats à l’élection présidentielle de 2005 comme organe parlementaire de transition.
il rappelé, à cet effet, qu'à la fin du mandat du Président André Kolingba (1981-1993), le peuple centrafricain avait imposé une forme de transition consensuelle conduite par un Conseil National Politique Provisoire de la République (CNPPR) qui avait organisé les élections générales en 1993, précisant qu'il s'agit d'une jurisprudence qui doit s’imposer.
Il a ajouté que cette proposition devrait permettre la mise en oeuvre du programme de Démobilisation, désarmement et Réinsertion des ex-combattants (DDR), condition sine qua non pour le retour de la paix et de la sécurité sur toute l’étendue du territoire national.
M. Boukanga a demandé la démission du gouvernement Touadéra et la formation d’un gouvernement de large consensus conformément à la recommandation du Dialogue Politique Inclusif dont les principales sont notamment travailler à la réconciliation véritable et définitive entre les Centrafricains, prendre les mesures nécessaires au renforcement de la démocratie et favoriser le développement économique et social.
Il a également souhaité la mise en place d’un Conseil National Politique Provisoire dirigé par le Président François Bozizé et devant regrouper en son sein tous les candidats à l’élection présidentielle de 2005 comme organe parlementaire de transition.
il rappelé, à cet effet, qu'à la fin du mandat du Président André Kolingba (1981-1993), le peuple centrafricain avait imposé une forme de transition consensuelle conduite par un Conseil National Politique Provisoire de la République (CNPPR) qui avait organisé les élections générales en 1993, précisant qu'il s'agit d'une jurisprudence qui doit s’imposer.