Les signataires de ce mémorandum ont demandé au Président de la République : - de veiller à la mise en œuvre effective des conventions, traités, résolutions, déclarations et les autres instruments juridiques internationaux visant la promotion de l’égalité de genre ;
- de veiller à l’adoption de la loi sur la parité hommes et femmes ; -de prendre en compte la parité dans tout processus de nomination aux postes de prise de décision ;
Et de veiller à la revalorisation du statut de la femme centrafricaine en général et celle du monde rural en particulier.
Au Président de l’Assemblée Nationale : -de veiller au vote dans un délai raisonnable de la loi sur la parité hommes et femmes en République Centrafricaine ; - d’inciter le parlement à voter des budgets sensibles au genre dans tous les secteurs ;
-de veiller à l’application par le gouvernement des instruments juridiques internationaux visant la protection des femmes contre la discrimination et violence à leur rencontre.
Au gouvernement : de traduire en acte concret les Objectifs du Millénaire pour le Développement ; - de poursuivre la vulgarisation de la CE/DEF ; - de veiller à la mise en œuvre effective de la politique nationale de l’égalité et de l’équité ;
- de faire diligence pour l’accélération de la révision du code de la famille ; - de mettre en place des politiques et des programmes de création d’emploi pour les femmes, les jeunes, les handicapés et les minorités ;
- d’impliquer pleinement les femmes dans les mécanismes de prévention, de gestion et de règlement de conflit ainsi que des opérations de maintien de la paix ; d’assurer l’intégration du genre dans les législations, politiques et programmes ;
- de mettre en place un Observatoire National du genre et d’allouer un budget conséquent pour évaluer la mise en œuvre de la politique nationale de l’égalité et de l’équité.
A la communauté internationale, ces femmes la supplient – d’appuyer les efforts du gouvernement dans la promotion du genre ; - de renforcer les capacités techniques, matérielles et financières des organisations non gouvernementales en général, les organisations des femmes et des jeunes en particulier.
Au patronat : - d’inscrire des stratégies intégrant la parité homme et femme dans leur offre d’emploi et les plans de carrière ; - de prendre des mesures incitatives pour attirer les femmes et les jeunes dans les secteurs privés ;
Et de favoriser une meilleure articulation du point de vue professionnel et familial des salariés.
- de veiller à l’adoption de la loi sur la parité hommes et femmes ; -de prendre en compte la parité dans tout processus de nomination aux postes de prise de décision ;
Et de veiller à la revalorisation du statut de la femme centrafricaine en général et celle du monde rural en particulier.
Au Président de l’Assemblée Nationale : -de veiller au vote dans un délai raisonnable de la loi sur la parité hommes et femmes en République Centrafricaine ; - d’inciter le parlement à voter des budgets sensibles au genre dans tous les secteurs ;
-de veiller à l’application par le gouvernement des instruments juridiques internationaux visant la protection des femmes contre la discrimination et violence à leur rencontre.
Au gouvernement : de traduire en acte concret les Objectifs du Millénaire pour le Développement ; - de poursuivre la vulgarisation de la CE/DEF ; - de veiller à la mise en œuvre effective de la politique nationale de l’égalité et de l’équité ;
- de faire diligence pour l’accélération de la révision du code de la famille ; - de mettre en place des politiques et des programmes de création d’emploi pour les femmes, les jeunes, les handicapés et les minorités ;
- d’impliquer pleinement les femmes dans les mécanismes de prévention, de gestion et de règlement de conflit ainsi que des opérations de maintien de la paix ; d’assurer l’intégration du genre dans les législations, politiques et programmes ;
- de mettre en place un Observatoire National du genre et d’allouer un budget conséquent pour évaluer la mise en œuvre de la politique nationale de l’égalité et de l’équité.
A la communauté internationale, ces femmes la supplient – d’appuyer les efforts du gouvernement dans la promotion du genre ; - de renforcer les capacités techniques, matérielles et financières des organisations non gouvernementales en général, les organisations des femmes et des jeunes en particulier.
Au patronat : - d’inscrire des stratégies intégrant la parité homme et femme dans leur offre d’emploi et les plans de carrière ; - de prendre des mesures incitatives pour attirer les femmes et les jeunes dans les secteurs privés ;
Et de favoriser une meilleure articulation du point de vue professionnel et familial des salariés.