POLITIQUE
Pour le Médiateur de la République, il s’agit d’une série de rencontres visant à écouter les préoccupations des différentes parties avant de proposer une piste de sortie de crise concernant notamment la décision du collectif de suspendre sa participation à la CEI et le départ du président de cette institution.
Selon le président de la Convention Républicaine pour le Progrès Social, Maître Nicolas Tiangaye, il s’agit d’une suspension et non d’un retrait.
« Nous ne nous retirons pas, je pense qu’il faut comprendre qu’il s’agit d’une suspension. Et nous avons donc posé un certain nombre de conditions parmi lesquelles le départ du président de la Commission électorale indépendante et qui est une condition non négociable. Dès que ces conditions vont être satisfaites, nous pourrons reprendre notre place au sein de la CEI pour que le processus suive son cours », a-t-il expliqué.
A la question de savoir si le collectif des forces du changement désirait proposer un nouveau président, il répond qu’il ne relève de la compétence de ce dernier, parce qu’il existe des dispositions concernant ces genres de cas dans le code électoral.
« Si M. Binguimalet (président de la CEI) doit partir ce sont le président de l’Assemblée nationale et le premier ministre qui doivent proposer chacun deux candidats, et puis nous allons procéder à de nouvelles élections pour choisir un nouveau président qui va satisfaire aux exigences de la loi pour conduire le processus électoral à bon port », a expliqué Nicolas Tiangaye.
Selon le président de la Convention Républicaine pour le Progrès Social, Maître Nicolas Tiangaye, il s’agit d’une suspension et non d’un retrait.
« Nous ne nous retirons pas, je pense qu’il faut comprendre qu’il s’agit d’une suspension. Et nous avons donc posé un certain nombre de conditions parmi lesquelles le départ du président de la Commission électorale indépendante et qui est une condition non négociable. Dès que ces conditions vont être satisfaites, nous pourrons reprendre notre place au sein de la CEI pour que le processus suive son cours », a-t-il expliqué.
A la question de savoir si le collectif des forces du changement désirait proposer un nouveau président, il répond qu’il ne relève de la compétence de ce dernier, parce qu’il existe des dispositions concernant ces genres de cas dans le code électoral.
« Si M. Binguimalet (président de la CEI) doit partir ce sont le président de l’Assemblée nationale et le premier ministre qui doivent proposer chacun deux candidats, et puis nous allons procéder à de nouvelles élections pour choisir un nouveau président qui va satisfaire aux exigences de la loi pour conduire le processus électoral à bon port », a expliqué Nicolas Tiangaye.
