Echange de documents entre Jean-Pierre Vidon (à gauche) et Sylvain Maliko (photo ACAP/Koutou)
L’objectif de cette subvention est de contribuer, en cohérence avec les recommandations du Fonds Monétaire International (FMI), à l’effort budgétaire de l’Etat centrafricain pour soutenir le secteur forestier.
« Cette subvention accordée à la République Centrafricaine financera en partie les dépenses inscrites au budget de fonctionnement de l’Etat pour l’année 2009. Ces ressources additionnelles permettront ainsi à l’Etat d’assurer le paiement de l’essentiel de ses arriérés aux entreprises privées non bancaires, le paiement de ces arriérés contribuera à réduire le niveau de la dette intérieure du pays », a indiqué l’Ambassadeur Vidon.
« Le décaissement de cette aide budgétaire était conditionné par l’adoption de deux arrêtés interministériels, en vue de soutenir le secteur de la forêt, principal secteur d’exportation du pays, touché par les effets de la crise internationale, ce secteur bénéficie par ailleurs de l’appui de l’AFD depuis plusieurs années pour en assurer une exploitation durable », a-t-il souligné.
Il a enfin ajouté que « cette convention vient développer et compléter le portefeuille de l’AFD en RCA, actuellement composé de seize (16) projets en cours d’exécution, présentant un reste à verser de 17 milliards FCFA dans les secteurs de l’énergie, de la santé, de la forêt et de l’environnement, des infrastructures urbaines et des transports »
En réponse, le ministre d’Etat, M. Maliko, a déclaré que « cet appui est inestimable pour nous, il intervient dans un contexte financier en RCA, mais également en France et dans le monde extrêmement difficile, nous pouvons donc apprécier ce geste, ce geste vient en accompagnement d’une série d’initiatives au niveau national que nous avons prises pour contrer les effets de la crise financière internationale ».
« En dépit de nos efforts internes, il nous faut compter sur les appuis de nos partenaires, au-delà de ce que notre partenaire traditionnel, la France fait, nous appelons d’autres partenaires à s’associer à cet élan de solidarité et à nous soutenir pour que nous n’enregistrions pas de recul qui serait fortement dommageable pour la stabilité et la paix en République Centrafricaine », a-t-il conclu.
Il faut rappeler qu'en juin 2009, les conseils d’administration du FMI et de la Banque Mondiale ont déclaré la République Centrafricaine éligible au point d’achèvement de l’initiative Pays Pauvres très Endettés (PPTE), soit près de deux ans après qu'elle eût atteint le point de décision de cette même initiative PPTE en septembre 2007.
« Cette subvention accordée à la République Centrafricaine financera en partie les dépenses inscrites au budget de fonctionnement de l’Etat pour l’année 2009. Ces ressources additionnelles permettront ainsi à l’Etat d’assurer le paiement de l’essentiel de ses arriérés aux entreprises privées non bancaires, le paiement de ces arriérés contribuera à réduire le niveau de la dette intérieure du pays », a indiqué l’Ambassadeur Vidon.
« Le décaissement de cette aide budgétaire était conditionné par l’adoption de deux arrêtés interministériels, en vue de soutenir le secteur de la forêt, principal secteur d’exportation du pays, touché par les effets de la crise internationale, ce secteur bénéficie par ailleurs de l’appui de l’AFD depuis plusieurs années pour en assurer une exploitation durable », a-t-il souligné.
Il a enfin ajouté que « cette convention vient développer et compléter le portefeuille de l’AFD en RCA, actuellement composé de seize (16) projets en cours d’exécution, présentant un reste à verser de 17 milliards FCFA dans les secteurs de l’énergie, de la santé, de la forêt et de l’environnement, des infrastructures urbaines et des transports »
En réponse, le ministre d’Etat, M. Maliko, a déclaré que « cet appui est inestimable pour nous, il intervient dans un contexte financier en RCA, mais également en France et dans le monde extrêmement difficile, nous pouvons donc apprécier ce geste, ce geste vient en accompagnement d’une série d’initiatives au niveau national que nous avons prises pour contrer les effets de la crise financière internationale ».
« En dépit de nos efforts internes, il nous faut compter sur les appuis de nos partenaires, au-delà de ce que notre partenaire traditionnel, la France fait, nous appelons d’autres partenaires à s’associer à cet élan de solidarité et à nous soutenir pour que nous n’enregistrions pas de recul qui serait fortement dommageable pour la stabilité et la paix en République Centrafricaine », a-t-il conclu.
Il faut rappeler qu'en juin 2009, les conseils d’administration du FMI et de la Banque Mondiale ont déclaré la République Centrafricaine éligible au point d’achèvement de l’initiative Pays Pauvres très Endettés (PPTE), soit près de deux ans après qu'elle eût atteint le point de décision de cette même initiative PPTE en septembre 2007.