M. Norbert Toé a affirmé que le budget de l’Etat Centrafricain est le plus faible parmi tous les pays subsahariens. En expliquant que sur une période de 1990 à 2010, le potentiel fiscal de l’Etat centrafricain est de 11% de la richesse nationale, alors que pour tous les pays subsahariens leur potentiel fiscal en moyenne est de 15%, de la richesse nationale.
En effet, la République Centrafricaine est à 4 points en dessous des autres pays africains, car, l’Etat centrafricain a collecté 9,2 pour cent ce qui crée un fossé de 1,8 %.
Il a exhorté l’Etat centrafricain à faire fonctionner l’addition fiscale et douanière, les régies financières afin de rehausser le niveau des recettes de l’Etat comme celles des autres Etats subsahariens qui sont à 18,3 pour cent de moyenne.
En revanche, il a constaté que les activités économiques en 2011 a été en deçà des attentes, en raison de la période électorale prolongée et des préoccupations sécuritaires. La croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est estimée à 3,1 contre 3,3% en 2010, tirée par le secteur agricole, et la modeste reprise des exportations de bois et de diamants.
Selon lui, grâce à la reprise des exportations de produits forestiers et de diamants, le solde des transactions devrait se stabiliser, malgré une réduction des appuis extérieurs. La situation des finances publiques demeure difficile, étant donné qu’il y’a une faible mobilisation des recettes et le non décaissement des appuis budgétaires attendus.
En effet, la République Centrafricaine est à 4 points en dessous des autres pays africains, car, l’Etat centrafricain a collecté 9,2 pour cent ce qui crée un fossé de 1,8 %.
Il a exhorté l’Etat centrafricain à faire fonctionner l’addition fiscale et douanière, les régies financières afin de rehausser le niveau des recettes de l’Etat comme celles des autres Etats subsahariens qui sont à 18,3 pour cent de moyenne.
En revanche, il a constaté que les activités économiques en 2011 a été en deçà des attentes, en raison de la période électorale prolongée et des préoccupations sécuritaires. La croissance du produit intérieur brut (PIB) réel est estimée à 3,1 contre 3,3% en 2010, tirée par le secteur agricole, et la modeste reprise des exportations de bois et de diamants.
Selon lui, grâce à la reprise des exportations de produits forestiers et de diamants, le solde des transactions devrait se stabiliser, malgré une réduction des appuis extérieurs. La situation des finances publiques demeure difficile, étant donné qu’il y’a une faible mobilisation des recettes et le non décaissement des appuis budgétaires attendus.