Organisées par le RJLOMDC avec l’appui du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), ces journées ont mobilisé entre autres, les étudiants de la Haute Ecole de Gestion et de Comptabilité (HEGC) et les élèves du Lycée des Martyrs autour d'un message clé, à savoir « Avec Moi, le sida ne passe pas ».
« Nous essayons de faire un état des lieux du sida en République Centrafricaine par rapport aux rapports du système des Nations Unies en Centrafrique, d’après nos passages dans certains établissements, nous nous sommes rendu compte que beaucoup restent à faire en milieu estudiantin en matière de sensibilisation sur la lutte contre le vih/sida », a déclaré le président du réseau, M. Paulin Cyriaque Ouoko Délombaut.
Il est question d’intensifier la sensibilisation de la lutte contre le sida dans ce milieu et d’aider les jeunes à prendre conscience de ce fléau qui impacte négativement dans la société », a-t-il ajouté.
Selon Mlle Dorine Anne Yabada, étudiante en deuxième année de marketing à HEGC, « le plus souvent, ce sont les filles qui sont à l’origine de la propagation du vih/sida car elles ont besoin de l’argent pour payer leurs études, et elles sont obligées de se prostituer ».
« Pour éviter la propagation du vih/sida, les jeunes filles doivent prendre conscience de leur avenir et dire non au vih/sida », a-t-elle conseillé.
Pour M. Eric Nathan Doui Majo, étudiant à HEGC « c’est la pauvreté qui donne l’opportunité à des jeunes d’aller gagner leur vie par la prostitution, avec des rapports sexuels non protégés ».
« Par exemple moi, je suis fidèle à ma copine et c’est la meilleure méthode de se protéger contre le vih/sida, ce n’est pas le port de préservatif », a-t-il indiquer avant d’ajouter que « la meilleure méthode c’est l’abstinence ou la fidélité ».
A l'inverse, M. Edgar Motia, élève au Lycée des Martyrs a souligné que « tout rapport sexuel doit se faire avec le préservatif pour ne pas être contaminé ».
Il faut noter que pendant cette campagne de sensibilisation, des jeux concours et sketchs sur le vih/sida sont organisés à l’intention des jeunes.
« Nous essayons de faire un état des lieux du sida en République Centrafricaine par rapport aux rapports du système des Nations Unies en Centrafrique, d’après nos passages dans certains établissements, nous nous sommes rendu compte que beaucoup restent à faire en milieu estudiantin en matière de sensibilisation sur la lutte contre le vih/sida », a déclaré le président du réseau, M. Paulin Cyriaque Ouoko Délombaut.
Il est question d’intensifier la sensibilisation de la lutte contre le sida dans ce milieu et d’aider les jeunes à prendre conscience de ce fléau qui impacte négativement dans la société », a-t-il ajouté.
Selon Mlle Dorine Anne Yabada, étudiante en deuxième année de marketing à HEGC, « le plus souvent, ce sont les filles qui sont à l’origine de la propagation du vih/sida car elles ont besoin de l’argent pour payer leurs études, et elles sont obligées de se prostituer ».
« Pour éviter la propagation du vih/sida, les jeunes filles doivent prendre conscience de leur avenir et dire non au vih/sida », a-t-elle conseillé.
Pour M. Eric Nathan Doui Majo, étudiant à HEGC « c’est la pauvreté qui donne l’opportunité à des jeunes d’aller gagner leur vie par la prostitution, avec des rapports sexuels non protégés ».
« Par exemple moi, je suis fidèle à ma copine et c’est la meilleure méthode de se protéger contre le vih/sida, ce n’est pas le port de préservatif », a-t-il indiquer avant d’ajouter que « la meilleure méthode c’est l’abstinence ou la fidélité ».
A l'inverse, M. Edgar Motia, élève au Lycée des Martyrs a souligné que « tout rapport sexuel doit se faire avec le préservatif pour ne pas être contaminé ».
Il faut noter que pendant cette campagne de sensibilisation, des jeux concours et sketchs sur le vih/sida sont organisés à l’intention des jeunes.