Pour M. Alain Brice Letokouzou, l’un des participants à cet atelier, « ce stage vient à point nommé redonner un élan à tous les arbitres professionnels et les arbitres assistants centrafricains de football »afin qu’ils parlent le même langage que leurs collègues sur le plan International.
« Il y a eu deux volets au cours de ce stage, notamment la partie théorique, qui concerne les modifications que la Fifa a apportées dans les lois du jeu, à savoir, la loi 11 qui concerne le hors jeu et la loi 12 qui traite des fautes, des incorrections et de la collaboration qui doit exister entre l’arbitre et son assistant ainsi que la partie pratique qui traite des conditions physiques des arbitres », a souligné M. Letokouzou.
« Nous, arbitres centrafricains de football, voulons que ce genre de stage soit périodique pour nous permettre d’être à la même hauteur que ceux de la Sous région », a –t-il également souhaité.
« Au moment où des critiques de tout bord sont dirigées contre les arbitres de football dans le monde, au moment où la vitesse de jeu augmente et le jeu s’intensifie, où les stratégies de jeu sont de plus en plus élaborées, les arbitres ont le devoir d’augmenter leurs connaissances et leurs capacités d’appliquer judicieusement les lois de jeu, leurs conditions physiques pour assurer une bonne prestation pendant des compétitions nationales et internationales et ça, c’est un devoir minimum », a fait remarquer M. Alain Pierre Mounguéngui.
« Ceux qui viennent de recevoir leur parchemin, je rappelle que cela ne devrait être nullement considéré comme une fin en soi, mais bien plus comme une première étape d’un long processus devant les porter à un haut niveau de professionnalisme ; Ils devront à tout instant s’auto évaluer et tenir haut leur niveau de vigilance », a déclaré M. Christian Bernard Yamalé, Directeur de Cabinet au ministère de la Jeunesse et des Sports.
Rappelons que ce stage, qui a mobilisé pendant six jours trente (30) arbitres de football de Centrafrique dont cinq femmes, a été encadré par Messieurs René Dawili Nabina venu de la RD Congo et Augustin Ndjoya du Cameroun et visait essentiellement à relever le niveau de performance des arbitres professionnels et assistants des associations membres de la Fifa.
« Il y a eu deux volets au cours de ce stage, notamment la partie théorique, qui concerne les modifications que la Fifa a apportées dans les lois du jeu, à savoir, la loi 11 qui concerne le hors jeu et la loi 12 qui traite des fautes, des incorrections et de la collaboration qui doit exister entre l’arbitre et son assistant ainsi que la partie pratique qui traite des conditions physiques des arbitres », a souligné M. Letokouzou.
« Nous, arbitres centrafricains de football, voulons que ce genre de stage soit périodique pour nous permettre d’être à la même hauteur que ceux de la Sous région », a –t-il également souhaité.
« Au moment où des critiques de tout bord sont dirigées contre les arbitres de football dans le monde, au moment où la vitesse de jeu augmente et le jeu s’intensifie, où les stratégies de jeu sont de plus en plus élaborées, les arbitres ont le devoir d’augmenter leurs connaissances et leurs capacités d’appliquer judicieusement les lois de jeu, leurs conditions physiques pour assurer une bonne prestation pendant des compétitions nationales et internationales et ça, c’est un devoir minimum », a fait remarquer M. Alain Pierre Mounguéngui.
« Ceux qui viennent de recevoir leur parchemin, je rappelle que cela ne devrait être nullement considéré comme une fin en soi, mais bien plus comme une première étape d’un long processus devant les porter à un haut niveau de professionnalisme ; Ils devront à tout instant s’auto évaluer et tenir haut leur niveau de vigilance », a déclaré M. Christian Bernard Yamalé, Directeur de Cabinet au ministère de la Jeunesse et des Sports.
Rappelons que ce stage, qui a mobilisé pendant six jours trente (30) arbitres de football de Centrafrique dont cinq femmes, a été encadré par Messieurs René Dawili Nabina venu de la RD Congo et Augustin Ndjoya du Cameroun et visait essentiellement à relever le niveau de performance des arbitres professionnels et assistants des associations membres de la Fifa.