« Avec l’adoption de ce premier rapport national, une étape vient d’être franchie dans notre course, dont le but ultime est le statut de conformité », a déclaré le ministre d’Etat Sylvain Ndoutingaï.
Selon lui, la transparence pronée par l’ITIE doit être non seulement la responsabilité de l’Etat mais également celle de société civile, des partenaires au développement ainsi que des sociétés minières.
« Au-delà du souci de transparence, a-t-il relevé, la mise en œuvre de l’ITIE en République Centrafricaine constitue pour la république Centrafricaine, l’un des déclencheurs de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE) ».
En sa qualité de président du comité de pilotage, le ministre d’Etat Sylvain Ndoutingaï a enfin exhorté le secrétariat technique à s’ateler à l’exécution des missions qui lui sont confiées et à traduire dans les faits les grandes orientations politiques et stratégiques par la publication régulière des rapports, afin de permettre à la République Centrafricaine d’être conforme d’ici 2010.
Selon lui, la transparence pronée par l’ITIE doit être non seulement la responsabilité de l’Etat mais également celle de société civile, des partenaires au développement ainsi que des sociétés minières.
« Au-delà du souci de transparence, a-t-il relevé, la mise en œuvre de l’ITIE en République Centrafricaine constitue pour la république Centrafricaine, l’un des déclencheurs de l’initiative en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE) ».
En sa qualité de président du comité de pilotage, le ministre d’Etat Sylvain Ndoutingaï a enfin exhorté le secrétariat technique à s’ateler à l’exécution des missions qui lui sont confiées et à traduire dans les faits les grandes orientations politiques et stratégiques par la publication régulière des rapports, afin de permettre à la République Centrafricaine d’être conforme d’ici 2010.