Dans une déclaration rendue publique à l’issue de la mission, M. Martin Petri, chef de la délégation, a relevé que « Des progrès ont été notés dans la mise en œuvre des réformes structurelles. L’application du mécanisme d’ajustement automatique des prix des produits pétroliers est indispensable pour générer des revenus stables permettant de financer les services de l’Etat et les dépenses affectées à la lutte contre la pauvreté, la gestion budgétaire s’est améliorée avec le renforcement de l’administration des recettes et de la gestion des finances publiques ».
L’activité économique a ralenti en 2009 sous l’effet des « chocs endogènes et exogènes », peut-on également lire dans cette déclaration, qui prévoit, en conséquence que « la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel devrait se situer à 2%, contre 2,2% en 2008. L’inflation moyenne est tombée à 8,8% en juillet 2009 après avoir atteint 9,3% en 2008. Le déficit du compte courant extérieur se réduirait quelque peu pour atteindre 9 % du PIB du fait de la réduction du volume des importations et de l’amélioration des termes de l’échange imputable à la baisse des prix du pétrole sur le marché international et au redressement des prix du diamant ».
S’agissant des consultations au titre de l’article IV, M. Petri a indiqué qu’elles ont porté sur « l’examen des sources de la croissance économique à long terme, la suppression des contraintes à l’accès du secteur privé au crédit bancaire, les réformes visant à améliorer le ratio impôts/PIB au fil du temps, et une politique budgétaire à même de contribuer à la viabilité des finances publiques à long terme ».
Il convient de signaler que dès la fin de la mission du FMI, le gouvernement a rendu public un arrêté interministériel fixant les nouveaux prix à la pompe des produits pétroliers en République Centrafricaine, lesquels se présentent de la manière suivante :
Le super 780 FCFA par litre
Le pétrole lampant station 580 FCFA par litre
Le gasoil 750 FCFA par litre
Le fuel 575 FCFA par litre
L’activité économique a ralenti en 2009 sous l’effet des « chocs endogènes et exogènes », peut-on également lire dans cette déclaration, qui prévoit, en conséquence que « la croissance du produit intérieur brut (PIB) réel devrait se situer à 2%, contre 2,2% en 2008. L’inflation moyenne est tombée à 8,8% en juillet 2009 après avoir atteint 9,3% en 2008. Le déficit du compte courant extérieur se réduirait quelque peu pour atteindre 9 % du PIB du fait de la réduction du volume des importations et de l’amélioration des termes de l’échange imputable à la baisse des prix du pétrole sur le marché international et au redressement des prix du diamant ».
S’agissant des consultations au titre de l’article IV, M. Petri a indiqué qu’elles ont porté sur « l’examen des sources de la croissance économique à long terme, la suppression des contraintes à l’accès du secteur privé au crédit bancaire, les réformes visant à améliorer le ratio impôts/PIB au fil du temps, et une politique budgétaire à même de contribuer à la viabilité des finances publiques à long terme ».
Il convient de signaler que dès la fin de la mission du FMI, le gouvernement a rendu public un arrêté interministériel fixant les nouveaux prix à la pompe des produits pétroliers en République Centrafricaine, lesquels se présentent de la manière suivante :
Le super 780 FCFA par litre
Le pétrole lampant station 580 FCFA par litre
Le gasoil 750 FCFA par litre
Le fuel 575 FCFA par litre