Cette déclaration a été faite au cours d’un atelier de restitution du lancement des activités de CARPE qui s’est tenu à Douala au Cameroun.
Le chef adjoint du projet des Aménagements Forestier, M. Henri Martial Maïdou, a précisé que « cette subvention sera accordée aux domaines d’intervention, notamment le renforcement des capacités des partie prenantes de la protection de la faune, les politiques de gestion des ressources naturelles, la bonne gouvernance des ressources naturelles, l’optimisation et le partage des leçons apprises, l’égalité de genre, le problème de sites en matière de politique et de formation d’un parlementaire à la base pour leur gestion durable, la gestion de la viande de brousse en terme des politiques et règles à éditer pour un plaidoyer sur cette question ».
Il a également annoncé que « les demandes sont soumises deux fois par an, en fin janvier et juin". Ajoutant que « les activités relevant de chaque financement devront durer un an au maximum. Au-delà, le bénéficiaire doit solliciter un avenant auprès de l’Union Mondiale pour la Nature (UICN) ».
Le chef adjoint du projet des Aménagements Forestier, M. Henri Martial Maïdou, a enfin sollicité les différentes ONG et la société civile de pouvoir déposer massivement leur projet, pour que la République Centrafricaine puisse bénéficier d’un point focal en matière de la protection de la faune.
L’Union mondiale pour la nature (UICN) a été fondée en 1948. Elle a pour mission d’influencer, d’encourager et d’assister les sociétés à travers le monde à conserver l’intégrité et la diversité de la nature et de s’assurer que toute utilisation des ressources naturelles est équitable et écologiquement durable.
Il est à noter que le programme de petites subventions de l’UICN à travers les fonds du CARPE vise à renforcer la société civile en vue de la conservation, durable des forêts en Afrique Centrale.
Le chef adjoint du projet des Aménagements Forestier, M. Henri Martial Maïdou, a précisé que « cette subvention sera accordée aux domaines d’intervention, notamment le renforcement des capacités des partie prenantes de la protection de la faune, les politiques de gestion des ressources naturelles, la bonne gouvernance des ressources naturelles, l’optimisation et le partage des leçons apprises, l’égalité de genre, le problème de sites en matière de politique et de formation d’un parlementaire à la base pour leur gestion durable, la gestion de la viande de brousse en terme des politiques et règles à éditer pour un plaidoyer sur cette question ».
Il a également annoncé que « les demandes sont soumises deux fois par an, en fin janvier et juin". Ajoutant que « les activités relevant de chaque financement devront durer un an au maximum. Au-delà, le bénéficiaire doit solliciter un avenant auprès de l’Union Mondiale pour la Nature (UICN) ».
Le chef adjoint du projet des Aménagements Forestier, M. Henri Martial Maïdou, a enfin sollicité les différentes ONG et la société civile de pouvoir déposer massivement leur projet, pour que la République Centrafricaine puisse bénéficier d’un point focal en matière de la protection de la faune.
L’Union mondiale pour la nature (UICN) a été fondée en 1948. Elle a pour mission d’influencer, d’encourager et d’assister les sociétés à travers le monde à conserver l’intégrité et la diversité de la nature et de s’assurer que toute utilisation des ressources naturelles est équitable et écologiquement durable.
Il est à noter que le programme de petites subventions de l’UICN à travers les fonds du CARPE vise à renforcer la société civile en vue de la conservation, durable des forêts en Afrique Centrale.